La chose intime
Datte: 06/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
vacances,
Oral
préservati,
pénétratio,
init,
nostalgie,
prememois,
initfh,
camping,
... plaisir. Mes gestes étaient imprécis, mais j’ai tout de même caressé son pénis de haut en bas. Cette peau qui glissait dans ma main m’émoustillait. Je n’avais pas l’habitude, mais j’étais comblée. Il déroule le préservatif sur sa verge et me pénètre. Enfin. Je me souviens que j’ai eu mal. J’ai senti mon intérieur s’élargir et brûler. Je n’ai pas caché ma douleur. — Ça va ? Je réponds que oui. Et pourtant. Je gémis, mais non pas de plaisir. Il me pénètre avec une grande douceur me tenant couchée et blottie contre lui. Il fait siffler un long « chut » pour m’apaiser. Peu à peu de nouvelles sensations arrivent. Les poils présents sur son nombril viennent d’abord caresser mon ventre. Je suis de nouveau excitée. La douleur n’est plus aussi insupportable. Elle laisse même quelque peu place à un étrange sentiment de bien-être que je voudrais éternel. — Je sais que ça fait mal, dit-il.— Ça ne me fait pas que mal.— Ça te fait quoi ?— Des choses. J’ai chaud, de plus en plus chaud, malgré mon inactivité. Je sens sa verge passer et repasser inlassablement. Chaque coup me fait frémir. Il accélère. Je n’ai plus le temps de reprendre mon souffle. Je hurle de plaisir. Il répète « chut », mais ses mots se transforment en cris. Il transpire. Je sens sa sueur tomber sur moi. Ça redouble mon excitation. Je me mets à remuer le bassin, un peu au hasard. Peu importe ! Moi aussi je veux bouger ! Et je veux, encore, sentir, un peu plus, cette verge qui me pénètre, sans pudeur. J’ai d’ailleurs ...
... l’impression qu’il s’enfonce de plus en plus, en moi. Je rugis voracement. Lui, lui aussi ne se maîtrise plus. C’est le désordre le plus complet. Nos gestes ne sont pas du tout accordés, et pourtant qu’est-ce que c’est bon. Il tire sur mes cheveux. J’agrippe sa peau. Le plaisir est beaucoup trop intense. Je sais que nous sommes dans une tente et que tout le monde nous entend. Pourtant, je crie de plus belle. Je m’ouvre à la vie, oubliant pour ainsi dire tout le reste. Alors, il prend une profonde inspiration, comme s’il allait mourir. Il s’effondre sur moi. Il s’est arrêté. Il a joui. Je dis : — Non ! Encore !— Je n’en peux plus, avoue-t-il. Comme un bébé, je répète : — Encore ! Il se détache de moi, glisse le long de mon corps. Il s’attaque à mon intimité. Avec sa bouche ! Il embrasse mon clitoris. Il le lèche. Il le mord. C’est bon, mais ce n’est pas assez. Je crie : — Plus, je veux plus. Deux doigts entrent brutalement en moi. Ce n’est plus douloureux du tout. Mais, sous l’effet de l’excitation, j’émets un hurlement strident. Thomas continue à me sucer le clitoris. Dans le même temps, il commence un rapide mouvement de va-et-vient avec ses doigts. — Plus vite ! Plus fort ! je demande. Il obéit. Je ne me reconnais plus. Je tremble. Je me tords dans tous les sens. C’est beaucoup trop bon. De plus en plus bon. Je suis trempée. Mon intimité est mouillée. Je transpire à n’en plus finir. Et puis sans crier gare, cette chose étrange, ce spasme qui joue avec les muscles de mon corps et ...