Une formation peut en cacher une autre
Datte: 21/11/2018,
Catégories:
ff,
profélève,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fouetfesse,
fsoumisaf,
... l’extrême, je ne peux pas être plus offerte à elle. Je la vois se positionner à côté de moi, se tapant le plat de la main avec le chausse-pied et elle dit : — Vous allez voir comment je vais arriver à faire de vous une fille studieuse et appliquée. De sa main libre, elle relève alors ma jupe et la remonte jusque sur mon dos, exhibant ainsi mes fesses seulement couvertes par mon collant blanc. — Petite dévergondée, on aime se promener les fesses à l’air. Je ne suis pas surprise, rien ne m’étonne plus venant de vous. Elle passe derrière moi, par le miroir je l’observe prendre plaisir à me reluquer le cul que je peux moi même voir de profil. Elle me tape l’intérieur de la cuisse de sa drôle de badine et me dit : — Écartez un peu les jambes ! Je m’exécute en écartant mes pieds l’un de l’autre. Elle ne peut rien rater désormais de ma chatte en feu à peine cachée par la symbolique protection du collant. Je la sens ouverte et humide comme jamais. Anne-Marie fait glisser pour l’instant la partie large du chausse-pied sur une de mes fesses comme une caresse. — Un cul pareil est fait et a déjà dû recevoir un bon nombre de leçons, votre comportement odieux ne doit pas dater d’aujourd’hui. Maintenez votre jupe relevée avec vos mains.— Oui Madame… Bien sûr que non, je ne m’étais jamais laissé aller à ce genre de pratique. Mais aujourd’hui être totalement abandonnée entre ses mains me met dans un état de transe sexuelle absolue dans lequel je puise du plaisir à l’infini. C’est alors que ...
... le coup survient, je le sens claquer sur mes fesses. Il est donné d’une main experte, car le plaisir qu’il donne est largement supérieur à la douleur que j’aurais pu ressentir. Le dosage est parfait. Plusieurs suivent avec le même savoir-faire, je ne peux me retenir de pousser de petits cris qui n’ont rien à voir avec des cris de douleur. Je tourne ma tête vers le miroir pour voir à quel point le plaisir est partagé. Elle aussi est en transe, ses yeux pourtant plutôt en amande sont grands ouverts et un air de jouissance éclaire son visage. Chacun de ses coups fait ballotter mes seins qui pendent totalement libérés le long du dossier. Je vois qu’ils participent, à leur manière, à son plaisir, car elle leur jette un regard lubrique régulièrement. Elle stoppe ma punition. Je vois alors les flashes d’un appareil-photo plusieurs fois. Je ne sais pas d’où elle l’a sorti, mais elle veut garder un souvenir. J’aime ça aussi. — Relevez-vous, c’est comme ça que je vais faire de vous quelque chose de bien ! Je me redresse, je suis bouillante du plaisir que j’ai pris, ou plutôt reçu. — Vous êtes toute transpirante, si vous avez chaud, dégrafez quelques boutons de plus de votre chemise si cela vous permet d’être moins idiote.— Bien Madame… Je suis son conseil, il ne reste plus que le bouton du bas, au niveau de mon ventre, qui retient fermée ma chemise. Les deux pans passent au milieu de mes seins, seulement accrochés encore par mes mamelons proéminents. Alors que je vais m’asseoir, elle ...