Une formation peut en cacher une autre
Datte: 21/11/2018,
Catégories:
ff,
profélève,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fouetfesse,
fsoumisaf,
... m’arrête. — Ce n’est pas fini, allez à la porte-fenêtre exposer votre médiocrité aux passants pendant que je vous interroge sur des verbes irréguliers. Allez ! Collez-vous à la porte-fenêtre. Je me colle le nez à la vitre, c’est une porte-fenêtre qui donne sur un microbalcon qui tient plus du rebord de fenêtre tellement il est étroit. Une barrière en fer forgé offre la protection indispensable. Je vois les gens passer dans la rue, mais pas un ne lève la tête pour profiter de ma tenue des plus légères. Par contre à la terrasse du café-restaurant de l’autre côté deux couples placés chacun à deux tables différentes m’aperçoivent. Ils me montrent du doigt à leur partenaire et discutent. Ils ont l’air de trouver cela follement drôle et ne me quittent plus des yeux, moi bien sûr cela ne participe qu’un peu plus à mon excitation. Les questions sur les verbes sont simples et j’y réponds. — Retournez vous asseoir ! Je me remets au travail où je fais de nouvelles bourdes, mes sens sont tellement en feu que je n’ai pas à me forcer cette fois-ci. Je me retrouve une nouvelle fois appuyée sur le dossier du fauteuil. — Petite salope, vous ne faites vraiment aucun effort, vous m’en faites même dire des grossièretés tellement vous portez mes nerfs à vif. Une fois qu’elle est passée derrière moi, je sens la partie large de baguette glisser entre mes cuisses et venir me frotter le sexe, cela me tire un gémissement. Elle effectue alors un va-et-vient le long de mes lèvres avec la tige. Je sens ...
... chaque nœud du roseau me faire sa petite caresse personnelle. C’est plus fort que moi, mon croupion s’agite pour accentuer les caresses de l’objet. Alors que je suis au bord de l’extase, elle s’arrête. Quelques nouveaux flashes, et une nouvelle séance de flagellation commence, plus forte il me semble, mais toujours aussi jouissive. C’en est trop pour mes seins qui s’échappent complètement de ma chemise. Ceci déclenche une fréquence plus élevée des coups qui s’abattent sur mon cul, mais toujours avec le même dosage exquis. Mes cris aussi sont poussés de plus en plus fort, mais leur sonorité est clairement synonyme de jouissance. Elle s’arrête, elle aussi est en nage. Elle me tire alors sur ma jupe pour qu’elle remonte beaucoup plus haut sur mon ventre. Quand je me relève, la jupe retombe juste au ras de mon minou. — Retournez à la fenêtre comme tout à l’heure. Je m’y place, mais elle me pousse dans le dos pour que mes seins s’écrasent sur la vitre, en me disant : — Plus près ! Je sens le contact glacé de la vitre sur ma poitrine. De suite les deux couples me repèrent de nouveau, ils devaient me guetter depuis ma première apparition. Évidemment, j’exhibe beaucoup plus de choses désormais. Ceci me rappelle alors ce reportage que j’ai vu sur Amsterdam et les filles dans les vitrines des quartiers chauds, je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec ma situation présente. Mes seins nus collés à la vitre, ma chatte à peine voilée, le tout offert aux regards de ces deux couples. ...