1. Une formation peut en cacher une autre


    Datte: 21/11/2018, Catégories: ff, profélève, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme fouetfesse, fsoumisaf,

    ... Je fais encore mieux que les filles d’Amsterdam. Je ne me rappelle même pas avoir répondu à ses questions, mais Anne-Marie m’ordonne de quitter la fenêtre. Quand je me retourne elle est assise dans l’autre fauteuil. Elle utilise l’appareil-photo plusieurs fois et me dit : — Vous m’avez tellement échauffé les nerfs que mes pieds ne supportent plus mes bottes, enlevez-les-moi.— Oui Madame… Je m’agenouille à ses pieds, elle écarte ses cuisses et me tend une jambe. J’ai une vue parfaite sur ses dessous, le large bandeau finissant ses bas autofixants et un slip rouge en dentelle fine. Son slip est particulièrement gonflé sur sa vulve et une auréole sombre montre à quel point l’endroit est humide. Je retire une botte, puis l’autre. Les jambes franchement écartées, elle tend sa jambe droite et de son pied recouvert du bas elle descend vers ma poitrine. Elle se met alors à me caresser un sein, s’acharne sur mon mamelon qui est aux anges. Son pied descend maintenant et vient se caler entre mes cuisses. Elle se met à me caresser mon minou au travers du collant détrempé. Ma bouche s’ouvre et laisse échapper un râle de plaisir, inconsciemment mes mains se portent sur mes seins qui ont besoin de caresses. Un coup de baguette tombe sur mon bras aussitôt. — Je ne vous ai pas autorisée, petite catin !— Pardon, Madame. Son pied remonte vers mon visage et vient se coller sur mes lèvres, je peux voir mon jus briller dessus. — Léchez ! J’obéis et ma langue s’active sur le nylon humide et ...
    ... légèrement poisseux. — Plus haut ! Je remonte le long de sa jambe, ma langue passe son genou. Une fois encore une série de flashes illumine la pièce. J’atteins enfin sa peau nue en haut de la cuisse, j’aime son goût. Sans un mot pour une fois, elle m’attrape la tête et me pousse le visage vers son entrejambe. Mon premier coup de langue se fait sur la dentelle du slip le long de sa vulve. Cela suffit à lui arracher un cri terrible, première fois qu’Anne-Marie perd le contrôle d’elle-même. Visiblement elle n’en peut plus et meurt d’envie d’arriver au bout de l’extase. Elle écarte sa culotte d’une main pour mettre à nu sa vulve. Elle a des lèvres incroyablement charnues et développées. Je n’en ai jamais vu d’aussi proéminentes. Ma bouche s’en empare, lèche, suce, mordille. Anne-Marie se laisse complètement aller. Elle hurle son plaisir ainsi qu’un bon nombre de qualificatifs à mon égard. Qualificatifs qui sont d’habitude réservés aux professionnelles du métier du sexe. Elle a éventré son chemisier et deux grosses mamelles, qui n’ont rien à envier aux miennes pour ce qui est du volume, jaillissent du soutien-gorge. Ses mains se jettent dessus alors qu’elle continue à m’affubler de toutes les variantes possibles du mot catin. Ce moment d’ivresse sexuelle se poursuit longtemps, elle semble impossible à rassasier, mais elle me repousse enfin et dit déchaînée : — C’est mon tour petite salope, je veux vous entendre jouir de ma main. Je trouve follement drôle de m’entendre toujours vouvoyer ...
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