Une formation peut en cacher une autre
Datte: 21/11/2018,
Catégories:
ff,
profélève,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fouetfesse,
fsoumisaf,
... porte-fenêtre, elle me pousse en avant pour que je me colle à la vitre, mais elle me tire aussi par élastique du collant en disant : — Mettez votre cul en arrière ! Je me retrouve penchée en avant, les seins écrasés sur la vitre et les fesses offertes se tendant vers l’arrière. Sa badine me tape l’intérieur de la jambe, je comprends qu’il faut que je les écarte. Je sens qu’elle glisse ses deux mains dans le trou encore restreint fait dans le collant. Elle tire violemment, le nylon craque avec un faible bruit. J’ai désormais toutes les fesses à l’air. C’est alors que je prends conscience d’où je suis. Je pense immédiatement aux deux couples qui m’observaient tout à l’heure. Il n’y a en plus qu’un seul, il me regarde. Les passants eux continuent à défiler dans la rue, indifférents, pas un ne lève la tête, inconscient du spectacle que j’offre. Anne-Marie clame : — Montrez-leur la seule chose que vous savez faire convenablement. Bien sûr elle veut parler des passants, le monde extérieur en général. Elle ne peut pas savoir qu’un couple suit par épisode les frasques de mon cours si particulier. Des doigts s’emparent de ma chatte et attaquent une masturbation féroce et suave à la fois. J’entends mes propres gémissements revenir à mes oreilles sans avoir conscience de les prononcer. Subir ces caresses sous les yeux, même lointains, de ce couple décuple le plaisir que je prends. Je ne sais pas pourquoi, mais c’est ce que je ressens. En relevant la tête sous l’emprise de diverses ...
... extases, je vois aussi une silhouette à une des fenêtres d’en face. Homme ou femme, je ne sais, je ne peux pas me concentrer assez pour le savoir et puis je m’en fous. Surtout que la cravache si spéciale d’Anne-Marie se remet à l’œuvre, toujours avec autant de savoir-faire dans le dosage. Je ne sais pas combien de temps dure cette séance, mais le plaisir pris est si terrible que je m’écroule lentement au sol, glissant comme une goutte sur la vitre. Quand je me retourne vers l’intérieur de la pièce, Anne-Marie s’est avachie dans le fauteuil. Elle semble elle aussi exténuée, sa poitrine toujours à nu luit de sueur. Ses seins se soulèvent avec une fréquence rapide, rythmée par sa respiration haletante. Sa main s’active encore sur son sexe en une lente masturbation à la recherche des dernières gouttes de plaisir qu’elle peut encore en tirer. On reste ainsi quelques minutes chacune dans son coin reprenant notre souffle. Anne-Marie en profite pour faire encore des photos de moi. Je suis trop dans un état second pour lui demander pourquoi. Puis soudainement elle se lève, tire sur sa jupe pour la faire descendre et reboutonne son chemisier. Comme si rien de spécial n’était arrivé, elle dit : — Bien, le cours est fini pour aujourd’hui. Vous avez fait quelques progrès, mais nous allons devoir travailler encore beaucoup comme aujourd’hui pour arriver à faire quelque chose de vous. Mon cerveau ayant repris un état plus proche de la normale, je suis abasourdie de cette brusque transition après ...