Clara - Les ouvriers (partie 1)
Datte: 07/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
couleurs,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
prememois,
... Comme toujours, il s’arrangeait pour faire des compliments sur ma personne. Contre toute attente, à force de me parler je trouvais finalement la présence de l’ouvrier plutôt agréable. Je commençais à prendre goût de cette compagnie, je me sentais moins seule et j’avoue que l’attrait que je procurais à cet homme me flattait. La façon qu’il avait de me regarder en disait long sur l’envie que je lui procurais. Il était rare que je me laisse « draguer » comme cela. Habituellement je ne leur en laissais pas l’opportunité. En fait j’étais curieuse de voir jusqu’où cet homme irait. Oserait-il aller plus loin avec moi ? Me ferait-il des propositions somme toute indécentes ? Même si je le redoutais, je ne pouvais m’empêcher de continuer à jouer ce petit manège. Nous discutions toujours ensemble, lui perché sur son escabeau peignant les fenêtres et moi, assise sur le canapé pas loin de lui. La télé était allumée mais je n’en suivais pas le déroulement. Je la regardais distraitement par moments tout en l’écoutant ou en lui parlant. À un moment, alors que je relevai les yeux de l’écran pour le regarder, je vis ses yeux rivés sur mes cuisses découvertes. Il avait une vue plongeante de son perchoir ! Sacré lui ! pensai-je, il ne perdait pas une miette de la vue de mes cuisses grâce à ma robe très courte qui lui permettait d’en voir une grande partie. Je faisais comme si je ne l’avais pas vu et l’idée me vint de croiser et décroiser mes jambes plus souvent. Effet immédiat, mon ouvrier ...
... avait maintenant les yeux dessus ! Je m’étonnai moi-même de jouer à ce petit jeu-là, mais pourquoi ? pensai-je. Puis la nacelle redescendit des étages supérieurs avec ses autres collègues afin de venir le chercher pour la pause déjeuner. Eh oui, il était déjà midi ! Nous discutions au moins depuis deux heures. Incroyable je n’avais pas vu le temps passer, lui non plus d’ailleurs car il paraissait surpris et aussi n’était pas pressé de s’arrêter ! Du coup il tenta : — Eh m’zelle, ça t’dirait de déjeuner avec nous ?— Euh… merci c’est gentil mais je ne peux pas car ma mère va rentrer et je vais manger avec elle. Ce n’était pas vrai mais c’est le seul argument que je trouvai pour m’en sortir… Il insista un peu mais voyant que je ne pouvais pas, il arrêta. Le voyant partir, j’en fus sur le coup soulagée. Tout remontait maintenant à la surface, je me posais mille questions sur mon comportement. Le petit jeu des croisements de jambes me parut fou. Je poussai un petit cri de surprise quand je m’aperçus que le fond de mon string était tout mouillé ! Mais que se passait-il ? À ce moment j’avais deux côtés en moi. Le premier celui de la petite fille bien élevée qui protestait énergiquement contre la façon de se comporter et l’autre qui, a contrario, me faisait m’amuser de cette situation. Bref, j’étais toute chamboulée et mes pensées n’étaient que sur ce sujet-là. Je mangeai, comme à mon habitude légèrement, et je me surpris à penser à cet homme… Son aspect un peu rustre, la peau mate du ...