Clara - Les ouvriers (partie 1)
Datte: 07/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
couleurs,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
prememois,
Coucou, je me présente : Clara, j’ai maintenant 26 ans. Je suis une fille simple, qui a été bien élevée par une famille attentionnée et catholique. Mon enfance a été heureuse et la nature m’a dotée d’un physique plutôt avantageux. Je m’en suis aperçue aux regards des hommes qui se posent souvent sur moi… Je fais 1,71 m pour 55 kg, blonde de nature et des cheveux qui retombent aux épaules, avec un tour de poitrine de 85b. J’ai eu ma première vraie aventure amoureuse à 17 ans avec Geoffrey. C’était un garçon de ma classe. Une relation normale entre jeunes gens du même âge. Après le bac, il est parti avec sa famille en province. Nous restions tout de même toujours officiellement ensemble. Je me rappelle cet été-là, juste après le bac… Mon ami était donc parti et je me retrouvais seule chez moi, enfin chez mes parents, à essayer de tuer le temps comme je le pouvais. Je n’étais pas près de revoir mon petit copain qui déménageait avec ses parents loin de chez moi. C’était début juillet et je ne partais en vacances avec mes parents qu’en août. Je n’étais même pas sûre de voir Geoffrey cet été. Cela arrangeait bien mes parents que je sois là car l’immeuble était en rénovation et des ouvriers travaillaient sur sa façade. Ils devaient aussi intervenir dans notre appartement pour repeindre les fenêtres et ma présence rassurait ma mère car ils ne resteraient pas seuls chez nous. Moi, cela ne m’enchantait guère. Un matin de ce début juillet, une nacelle apparut devant le balcon du salon. ...
... Trois ouvriers dedans, Ils montaient et descendaient, ils n’arrêtaient pas. À un moment donné, l’un d’eux descendit sur notre balcon avec du matériel et un pot de peinture. Vu que la fenêtre était entrouverte, il toqua. J’y allai et, me voyant, l’ouvrier m’expliqua qu’il peindrait aujourd’hui ici, et pendant plusieurs jours. Je devais lui laisser les clefs ou être présente pour lui ouvrir les fenêtres. — Bon, le début de la galère commence, me dis-je… Du coup, je n’étais plus à mon aise. Je pouvais tomber nez à nez avec cet homme à tout moment dans l’appartement, sans compter que je ne pouvais plus aller sur le balcon pour bronzer ! Enfin je me rassurais en me disant que ça ne durerait que quelques jours. Midi sonnant, pause des ouvriers. Déjeuner léger et farniente devant la télé. Je m’assoupis sur le canapé. Un bon moment après, je me réveillai et je vis l’ouvrier qui peignait nos fenêtres, et ce, tout en me regardant ! Il se mit à me sourire, il avait l’air de m’observer depuis un moment. Je portais ce jour-là une petite jupe d’été très légère et un petit tee-shirt montrant mon nombril. Surprise de voir cet homme, je m’enfuis de la pièce… J’étais toute perturbée d’avoir été ainsi détaillée par cet homme. Il devait avoir plus de la quarantaine ; et d’origine nord-africaine. Entre eux, les ouvriers parlaient arabe. Du coup, j’évitais de retourner dans le salon mais pour aller de ma chambre aux toilettes ou à la cuisine le passage obligé était cette pièce. De plus je devais ...