Clara - Les ouvriers (partie 1)
Datte: 07/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
couleurs,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
prememois,
... pris ma douche et, tout en me lavant, mes pensées s’égarèrent. J’en fus sortie en entendant des petits coups à la fenêtre du salon. Je réalisai alors que ce devait être l’ouvrier qui voulait commencer à travailler et il fallait lui ouvrir la fenêtre ! Surprise, je me dépêchai et sortis en enfilant mon peignoir. J’arrivai ainsi accoutrée devant la fenêtre et devant l’ouvrier de la veille. Comme je m’approchai je vis ses yeux s’écarquiller en me voyant ainsi vêtue et moi, du coup, réalisant ma faute ! J’ouvris tout de même la fenêtre, peu rassurée. Il s’excusa un peu comme la veille mais encore plus de m’avoir sortie de ma salle de bain. C’est alors que je vis la nacelle d’où il venait, monter et passer devant notre balcon. Les deux autres ouvriers de la veille dedans et tous leurs yeux scotchés sur ma personne ! L’un d’eux, le plus vieux, ne put s’empêcher d’émettre un coup de sifflet admiratif. Je n’osai pas les regarder et fis semblant de me concentrer sur la conversation avec mon ouvrier. Lui se retourna et leur parla en arabe et ils rirent alors et disparurent dans les étages supérieurs. Dieu seul, à part eux, savait ce qu’ils s’étaient dit… Je restai ainsi là plus d’un quart d’heure, ne pouvant m’en dépêtrer. J’eus encore droit entre autres à des compliments sur ma beauté naturelle de jeune femme… Finalement retournant dans la salle de bain je pris tout mon temps. Je me surpris à me maquiller alors que je ne le faisais pas habituellement quand je restais à la maison. ...
... Puis, devant mon placard je pris un soin particulier à choisir ma tenue. Je sortis enfin une robe d’été rose bonbon et courte à mi-cuisses. C’était une robe de plage très légère. Il faisait chaud ce jour-là. Je sortis aussi des dessous blancs en dentelles ; le haut et le bas faisaient partie du même ensemble et la culotte était un string. Peut-être que les compliments de l’ouvrier m’avait donné envie de me faire belle, ma parole ! Une fois habillée, je ne sus que faire. Soit rester dans cette chambre à m’ennuyer ou aller dans le salon regarder la télé. Mais alors cet homme serait là. Finalement, je pris la décision d’aller dans le salon tout de même. L’homme était toujours là, s’affairant à peindre les fenêtres en sifflotant. J’allumai la télé comme s’il n’était pas là mais, me voyant, il ne put se retenir de changer le son qui sortait de sa bouche en sifflet admiratif du plus mauvais genre ! Je fis comme si je n’avais pas entendu. C’est alors qu’il se remit à me parler encore et encore… D’abord, il me félicita sur ma tenue me trouvant très belle et moi essayant de faire dévier le sujet pour éviter de rougir lamentablement. Il changea de sujet, ouf ! Mais mine de rien il cherchait à savoir si j’avais un petit ami. Je lui dis que oui. Il trouvait cela normal et s’étonnait que je ne sois pas avec lui. Et moi qui lui expliquais qu’il était parti loin et que je n’étais pas près de le revoir. Il se mit à me plaindre, trouvant cela anormal et injuste pour une si belle jeune femme ! ...