Clara - Les ouvriers (partie 1)
Datte: 07/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
couleurs,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
prememois,
... dans cette chambre silencieuse, on entendit que cela. Et puis le plaisir monta, monta jusqu’à parvenir au paroxysme me faisant hurler et trembler de tous mes membres ! Le plaisir avait été si fort que j’en restais sous le choc. Quand j’ouvris enfin mes yeux, je vis mon amant debout devant moi en train d’enlever sa blouse de travail et moi j’étais allongée sur le dos, cuisses complètement ouvertes et robe retroussée au-dessus de ma taille. Il était nu sous sa blouse, je n’en revins pas. Il avait le sexe dressé fièrement. Il était imposant et plus gros que tous ceux que j’avais jusqu’alors vus. Il sortit de la poche de sa blouse un préservatif et l’enfila. Il avait tout prévu le bougre ! Il me parlait en arabe, s’approcha et me saisit par la taille, me releva puis me retourna et m’obligea à me mettre à quatre pattes sur mon lit. J’avais la position de ce qu’on appelle la levrette et que je ne connaissais pas encore. Je sentis déjà son sexe me fouiller. Il trouva facilement l’entrée et n’eut pas trop de mal à s’y introduire. J’en étais étonnée, vu la taille de son sexe. Il rentrait et ressortait d’abord doucement, prenant le temps de glisser dans mon intimité. La cadence augmenta petit à petit et me laissa échapper des petits râles de plaisir. Cela avait l’air de l’exciter et il me parlait tantôt en arabe tantôt en français. Les mots que je comprenais étaient crus, du plus mauvais genre pour une jeune femme de mon âge. Je ne m’en offusquai pas et même au contraire cela ...
... augmenta mon plaisir me faisant crier de plus en plus. Il s’affairait toujours dans cette position tout en vociférant des jurons et accélérant sans cesse la cadence. Je n’en revenais pas d’être ainsi malmenée. Ma position était indécente, j’étais complètement accroupie relevant mes fesses très haut et ma tête plaquée sur le matelas. Je criais de plus en plus fort, sentant un plaisir venu du plus profond de moi remonter à la surface. Cela dura, dura et je me laissais aller de plus en plus. Au bout d’au moins 15 minutes, et me tapant si fort et si vite maintenant avec son sexe, j’eus un autre orgasme, ce qui eut pour effet de me faire carrément hurler. Une vraie décharge de plaisir m’électrocuta à ce moment. Complètement fou… Lui continuait en râlant maintenant et, tapant toujours aussi fort, il finit par s’immobiliser se laissant aller lui aussi en tremblant… Il ne bougea plus, respirant fort. Il avait son buste collé à mon dos et je sentis ses mains me peloter doucement les seins sous ma robe. Nous sommes restés dans cette position un moment, tous les deux essoufflés. J’étais comme dans un autre monde, des étoiles plein la tête. Puis j’entendis comme des bruits de roulement me parvenir aux oreilles et un moment après, quelqu’un tapa sur la fenêtre ouverte du salon en appelant : — Mustapha ! Hé, Mustapha, t’es où ? C’était l’un de ses collègues qui venait le chercher. Il se retira alors très vite de moi, enfilant sa blouse à la hâte. C’est à ce moment-là que je pus voir qu’il ne ...