Clara - Les ouvriers (partie 1)
Datte: 07/08/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
couleurs,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
confession,
prememois,
... débarrasser la vaisselle qui était restée sur la table du salon et la laver avant le retour de mes parents. Donc au bout d’un moment je m’y aventurai tout de même. J’évitai de regarder vers la fenêtre mais m’apercevant, l’ouvrier m’interpella : — Eh, m’zelle s’te plait ! Du coup je m’approchai de lui… — Oui ?— Suis désolé de t’avoir réveillée tout à l’heure. J’voulais pas. J’fais aussi doucement que j’peux. J’ai travaillé pendant presque une heure sans que tu es réveillée, m’zelle. Je blêmis à l’idée que cet homme ait pu m’observer pendant plus d’une heure. Dieu seul savait où il avait posé ses yeux ! J’en étais du coup toute gênée et mal à l’aise. Je lui dis que ce n’était pas grave et que j’étais fatiguée. Oui, n’importe quoi : je me justifiais en plus, alors que j’étais chez moi ! — T’as fait la fête, c’est normal la jeunesse c’est teuf ! En fait, même pas, mais j’acquiesçai pour m’en débarrasser mais il renchérit en me posant plein de questions. Et comment je m’appellais, mon âge, si mes études ça allait, il n’arrêtait pas. Et moi qui lui répondis, n’osant pas m’en aller. Il me parla aussi de lui, qu’il avait 44 ans, Tunisien, Mustapha comme prénom… J’ai même su qu’il était célibataire et venu en France depuis seulement quelques mois pour travailler. Au bout d’un moment, je lui dis qu’il fallait que je fasse la vaisselle, il sourit alors et me dit : — Oui, m’zelle, c’est normal faut bien. T’es bien jolie p’tite, belle comme une jolie fleur ! Je lui souris, gênée, et me ...
... retournai, sentant que je rougis alors subitement. J’étais super mal à l’aise et je ne voulais pas qu’il s’en aperçoive. Lui faisant dos, je ramassai les couverts, toute tremblante… Il fallut que je fasse plusieurs allers et retours et chaque fois l’homme me regarda de plus belle. La vaisselle terminée, je m’apprêtai à regagner ma chambre en traversant le salon aussi vite que possible mais tout en m’apercevant qu’il me regardait toujours. Vers 16 h 30, j’entendis la nacelle venir récupérer notre ouvrier. J’observai la scène de ma chambre en prenant soin que les hommes ne puissent pas me voir. Ils étaient trois dedans, tous des étrangers. Il y avait mon ouvrier et deux autres. Un d’une vingtaine d’année, un Black, et l’autre devait être cinquantenaire. Ils se parlaient arabe bruyamment. On était lundi et il y en avait pour la semaine… Le soir, je repensais à tout cela et je m’aperçus que cela m’avait perturbée. Je repensai à la façon très insistante dont l’ouvrier m’avait regardée et mine de rien regardait mon corps : mes seins, mes hanches, mes jambes. Toujours un petit coup d’œil appuyé. Et aussi sa façon de me dire que j’étais belle. Un sentiment bizarre était en moi. À la fois un rejet de cet homme et, a contrario, comme une sorte d’attirance. Je ne comprenais pas, tout se chamboulait dans ma tête. Le lendemain je me réveillai vers 8 heures. Mes parents partaient et ma mère me demanda de surveiller les ouvriers ! Encore une journée enfermée et à les éviter, pensai-je. Je ...