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Hell's (2)
Datte: 22/11/2018, Catégories: Zoophilie,
... te plait… Les mots n’avaient plus la dureté d’une demande. Ils devenaient presque comme l’inverse de ce qu’ils signifiaient. Le ton mal assuré de Claude fit que Michel ne demanda rien à Hell’s. Il se contenta de la frictionner davantage et elle mouillait d’une manière étrangement conséquente. La langue râpeuse du cabot continuait sa course folle sur toute la longueur de l’ourlet ouvert par les doigts malicieux. Et elle se tut sous le baiser revenu, d’un Michel particulièrement émoustillé par ce qu’il voyait. Les murmures de Claude étaient désormais de véritables appels au sexe. Elle remuait sa croupe contre la bite de son homme. Et bien entendu l’animal encouragé par ces secrétions odorantes, persistait à la léchouiller. Quand elle eut les jambes si tremblantes qu’elle avait du mal à se tenir debout, Michel la fit se coucher. Sur le carrelage de la cuisine, il vint à califourchon sur sa poitrine, lui remontant les jambes sur ses épaules. Sa chatte ainsi ouverte offrait toute sa surface à la langue du Brachet. Puis sans doute complètement rassuré par ces encouragements muets, il essaya de la pénétrer dans cette position et il était diablement fort le bougre. Michel eut du mal de le repousser. — Pas comme ça ! Bon sang ! Recule… attends ! Hell’s, non ! Il venait d’élever la voix, mais le clebs lui était fou furieux. Il revenait sans cesse frotter son ventre contre une cuisse de la femme. Les coulées de son sperme formaient déjà une petite mare sur les carreaux du carrelage. ...
... Claude prit peur et tenta de se relever. Elle se retourna sous Michel qui de tout son poids forçait pour faire reculer l’animal. Alors qu’elle se trouvait à genoux, les deux pattes de devant du chien se collèrent sur les flancs de la belle. Et sa pine maintenant se frottait allégrement entre les fesses de la belle. Michel n’arrivait pas à repousser la masse de muscles qui montait sur le dos de son épouse. Il n’eut que le temps de voir cette longue et bizarre tige rouge alors qu’elle s’enfonçait en Claude. Mais comme il était un peu haut sur la femme, la bite de la bête n’avait pas pris la bonne porte. La femme ne bougeait plus alors que la bite à toute vitesse allait et venait fouiller son anus. Et le Brachet pour la première fois de sa vie connaissait les joies de l’amour. Claude ne bougeait plus, mais elle ne criait pas non plus. Alors Michel se plaça aux côtés de l’amant à quatre pattes de son épouse. Il saisit la pine et la retira de l’œillet dans lequel elle naviguait. Il la tenait au bout du fourreau et pour d’obscures raisons, l’envie lui prit de l’enfoncer dans la chatte de Claude. Hell’s reprit ses mouvements désordonnés en restant les pattes avant bloquées sur les côtés de l’épouse en levrette. Celle-ci gémissait sourdement comme si c’était son mari qui lui faisait l’amour. Elle commença à remuer de plus en plus les hanches et la main de Michel qui tenait en elle le sexe canin, suivit le mouvement. Quand elle jouit avec une violence inouïe, son mari surpris lâcha la ...