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Hell's (2)
Datte: 22/11/2018, Catégories: Zoophilie,
... pine du cabot ! Dans un mouvement trop brusque, le chien sortit de la foufoune qu’il pistonnait. Un véritable flot de sécrétions gicla en même temps que la queue rouge. Et un long moment encore, le vit se frotta dans la raie des fesses, mais il ne rentra plus en elle. Puis l’animal se calma, et s’éloigna du couple. Claude gênée regarda son mari qui ne savait plus quoi lui dire. Il bandait comme un cerf au temps du rut. — Tu es content de toi ? Tu t’es bien fait plaisir ? Me faire baiser par notre chien… c’était ça ton fantasme ? — Non… attends ! Je n’ai pas réfléchi. Ça a été instinctif, et il m’a semblé que ça ne t’avait pas vraiment déplu… — Comment peux-tu dire ça ? C’est dégueulasse ! Monstrueux et contre nature. Ignoble, tu es ignoble. — Claude bon Dieu… c’est arrivé comme ça et je suis certain que tu as joui. Tu mouillais tellement ! — Il ne t’est pas venu à l’idée que c’était de toi que j’avais envie ? Allez fous moi la paix, dégage, je vais me doucher. Et maintenant tu pourras te chercher une chienne pour baiser… salaud ! — Attends mon amour, attends, ne te fâche pas… — Laisse-moi tranquille ! La douche coulait depuis un long moment et Michel ne savait plus quelle attitude adopter. Il aurait bien juré qu’elle a avait pris une part active à ce coït extraconjugal. Mais elle ne l’avouerait jamais. Sa fierté de femme, sa peur aussi du « qu’en-dira-t-on » ! Et dire qu’il se retrouvait comme un con, avec une queue disproportionnée, et ses couilles lui faisaient mal à force ...
... d’envie. Il opta pour une réconciliation rapide et entra lui aussi dans la salle de bain. Elle n’entendit pas la porte qui s’ouvrait et ne vit donc pas son mari qui regardait l’éponge laver les dernières traces qui auraient résisté. Bon Dieu qu’elle était plaisante à voir ainsi. La mousse avait envahi son dos et une brosse à grand manche raclait la peau savonneuse de la belle brune. En deux mouvements le pantalon encore ouvert, le caleçon et les chaussettes de Michel furent jetés pêle-mêle sur le panier de linge sale. Il fit une enjambée et se retrouva tout proche de l’objet de toutes ses convoitises. Sans doute que le mouvement qu’il venait de faire pour entrer, elle l’avait perçu. Mais elle ne dit pas un mot. Se contentant de continuer son brossage long et fastidieux. Alors il lui saisit la main et l’écouvillon stoppa sa besogne. Elle avait l’air moins… en rogne. Quand il prit une fleur de nylon, qu’il y colla une bonne rasade de gel aux senteurs « lilas », elle ne bougea pas d’un centimètre. Puis il se mit en devoir de lui passer cette mousseline souple et odorante du cou jusqu’aux fesses, avec un maximum de douceur. Sur sa peau il pouvait voir une sorte de grain se dessiner au fur et à mesure de l’avancée de cette caresse. La chair de poule lui hérissait tous les pores sans pour cela qu’elle le rejette. Il continua jusqu’entre les deux demi-globes, s’attardant sur ceux-ci, l’un après l’autre. Un pur bonheur pour cette femme sensuelle. La trique qui se balançait à quelques ...