Objet sexuel pour femme dominante
Datte: 23/11/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
poilu(e)s,
hsoumis,
fdomine,
chantage,
cérébral,
odeurs,
BDSM / Fétichisme
pied,
Masturbation
Oral
nopéné,
sm,
gifle,
init,
fplusag,
hsoumisaf,
Au matin, je m’étais éveillé de bonne humeur après avoir passé un coup de langue sur la merveilleuse culotte. Mais soudain, un coup de téléphone. Catastrophe : c’était Madame Liz, pas heureuse de s’être aperçue de mes indiscrétions, et qui me demandait de venir m’expliquer chez elle sans délai. J’étais paniqué, j’avais peur d’y aller et de m’expliquer, mais elle menaçait de parler à ma tante et je n’avais pas le choix… Je comprenais que par ma faute j’avais prêté le flanc au chantage d’une femme qui, je le comprenais maintenant, allait faire de moi sa chose. J’étais à la fois pris d’une véritable panique à l’idée de me présenter devant elle, et en même temps terriblement excité de savoir que Madame Liz avait découvert mes indiscrétions. J’étais entre ses mains… Il fallait y aller, et j’y allai… J’arrivai à l’heure fixée. Madame Elisabeth me fit entrer dans son appartement et referma la porte à clé derrière moi. J’étais terrifié et terriblement excité, les joues toutes rouges, les jambes molles, le cœur battant la chamade… Elle me prit par la main, comme on le fait pour un petit garçon, me regarda sans rien dire, avec un sourire un peu narquois, puis elle m’entraîna fermement jusque dans sa chambre, celle où j’avais fauté. Là, dans son intimité, elle me toisa du regard et me sermonna comme elle l’aurait fait à un petit garçon venant de faire une grosse bêtise. Sous peine de me dénoncer auprès de ma tante et de mes parents, elle m’intima l’ordre de lui raconter par le menu ce ...
... que j’avais fait de ses dessous, sous prétexte de bien cerner ma faute et de trouver une punition adéquate. Totalement sous l’emprise de cette femme habituée à dominer, terrorisé par ce qu’elle pourrait faire et dire à ma tante, je lui racontai mon aventure de la veille, d’abord de façon la plus imprécise possible, puis de façon plus détaillée en répondant pendant près d’une heure à toute une série de questions de plus en plus précises et perverses. Je fus contraint de tout lui révéler. Elle m’arracha même, certes en insistant beaucoup, que j’avais été jusqu’à lécher le fond de sa culotte. Elle me sermonna longuement en me rappelant que je n’étais qu’un gamin vicieux, qu’elle était une dame de plus de 60 ans, beaucoup plus âgée que moi, et à qui je devais le respect le plus absolu. Pour réparer ce qu’elle considérait comme une faute inexcusable envers elle, qui m’avait fait confiance, elle m’avertit que je devais dorénavant lui obéir en toutes choses, d’autant plus que rien ne l’obligeait à ne pas aller tout raconter à son amie, ma tante. Elle m’ordonna de ne pas parler à ma tante des punitions qu’elle allait être obligée de m’infliger. Afin de me laisser réfléchir à ma faute et à mon acceptation de la servilité qu’elle comptait m’imposer, elle me laissa seul un moment dans sa chambre après m’avoir ordonné de me mettre à genoux devant son lit, pour que je m’imprègne du lieu où je devrais expier ma faute à son service. Lorsqu’elle revint me voir, j’étais toujours à genoux au ...