1. Objet sexuel pour femme dominante


    Datte: 23/11/2018, Catégories: fh, fagée, poilu(e)s, hsoumis, fdomine, chantage, cérébral, odeurs, BDSM / Fétichisme pied, Masturbation Oral nopéné, sm, gifle, init, fplusag, hsoumisaf,

    ... échappé sous l’effet de l’excitation. Comme ma Maîtresse avait 68 ans, je penchais pour la seconde explication, qui était tout aussi excitante que la première… La tête toujours maintenue dans l’étau de ses grosses cuisses, ma bouche poussée contre l’entrejambe de sa fine culotte, je n’étais pas resté inactif. Je m’étais mis à lécher le fond de sa culotte où je m’étais rendu compte que c’était bien un peu d’urine que ma Maîtresse avait lâchée, probablement sous l’excitation de me voir ainsi docile à ses pratiques perverses. Je léchais pour essayer de réparer les dégâts au fond de sa culotte, mais aussi pour lui montrer que j’étais bien sa chose et qu’elle pouvait tout me demander, y compris de lécher ses oublis… Elle comprit ce qui se passait et émit soudain un feulement de plaisir tout en prenant précisément ma tête pour mieux appliquer ma bouche et mes lèvres sur le fond humide de sa culotte, et pour en fait se masturber le clitoris avec ma bouche au travers de sa culotte. Elle agitait son ventre et faisait jouer sa motte contre mes lèvres, d’abord à travers le fin tissu de sa culotte puis, en écartant le bord de sa culotte d’un doigt, directement contre ses lèvres abondamment poilues. Je m’efforçais alors de la lécher au mieux en passant ma langue fébrile entre l’élastique de sa culotte à l’entrejambe écarté et sa cuisse. Je la suçais un petit moment, puis elle me dit : — Tu vas aussi me lécher de l’autre côté, et tu seras le premier, mon petit chéri. Applique-toi pour ...
    ... donner beaucoup de plaisir à ta Maîtresse. Elle me repoussa alors après avoir ouvert ses cuisses pour me libérer, se retourna lentement, releva sa jupe et baissa sa culotte au milieu de ses cuisses. Elle écarta ses grosses fesses avec ses mains et m’ordonna : — Lèche là aussi, applique-toi, donne-moi du plaisir, petit esclave ! Je trouvai ça un peu répugnant et je restai sans bouger le nez près de ses fesses toujours écartées. Elle m’ordonna alors : — Suce sans faire d’histoires, je le veux ! Et vite ! Laissant ses fesses, elle prit ma tête dans ses mains par derrière elle, sans se retourner, et elle appliqua mes lèvres dans le milieu de la raie de ses fesses, en m’ordonnant à nouveau de la sucer sans faire d’histoires. Il fallait bien que je le fasse et, plongeant ma bouche entre ses grosses fesses, j’appliquai mes lèvres sur son anus que j’embrassai avec une certaine répugnance. — Oui c’est bon, me dit-elle, continue d’obéir, lèche le cul de ta Maîtresse, petite salope. Je me décidai alors à lécher son petit trou avec application, comme elle me le demandait, pendant qu’elle s’activait à se caresser le clitoris de plus en plus vite, jusqu’au moment où son anus ressortit, puis se rentra plusieurs fois, pendant qu’elle jouissait en frémissant de tout son corps. Puis elle se retourna et s’allongea pour se reposer sur son lit, toujours culotte à moitié baissée, les cuisses écartées de façon impudique devant un puceau fasciné par la vue de ses lèvres devenues toute rouges. Madame Liz ...
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