1. Objet sexuel pour femme dominante


    Datte: 23/11/2018, Catégories: fh, fagée, poilu(e)s, hsoumis, fdomine, chantage, cérébral, odeurs, BDSM / Fétichisme pied, Masturbation Oral nopéné, sm, gifle, init, fplusag, hsoumisaf,

    ... milieu de la pièce, n’osant lever les yeux sur elle. Elle me demanda si j’acceptais ses conditions, si j’acceptais, selon ses propres termes, de devenir son « petit serviteur intime », son « esclave domestique ». Je n’avais guère d’autre choix que d’accepter. Elle me dit alors qu’elle allait tester ma servilité d’esclave et elle me désigna alors la coiffeuse, avec son tabouret molletonné de velours rose. — Ne trouves-tu pas joli ce petit tabouret sur lequel ta Maîtresse pose chaque jour son fessier pour se faire belle ? Timidement, terriblement embarrassé et ne sachant où elle voulait en venir, je répondis un inaudible : — Oui.— Alors adore-le, embrasse-le, vas-y enfouir ton nez, petit vicieux, vas-y chercher les parfums subtils de mon fessier ! J’exécutai l’ordre de ma Madame Liz, à genoux devant son tabouret. Elle s’approcha de moi, me caressa la tête comme on peut le faire à un petit chien, puis chuchota à mon oreille qu’elle avait l’habitude de s’y asseoir fesses nues, sexe parfois mouillé après s’être caressée avec son gode. À cette affirmation, j’eus un instant la velléité de relever ma tête, honteux de ce qu’elle m’obligeait à faire, mais elle m’en empêcha en m’appuyant sur la tête et en m’ordonnant de continuer à chercher dans le tissu l’odeur de son postérieur. — Cela ne devrait pas gêner un petit vicieux qui renifle et lèche les culottes des dames mûres. Lorsqu’elle jugea que j’avais assez adoré l’endroit où elle posait son postérieur, elle m’ordonna de me mettre ...
    ... nu à ses pieds. Rouge de honte, je quittai mes vêtements, et même mon slip qu’elle dû elle-même baisser car je n’osais le faire. Assise sur le bord de son grand lit, elle m’ordonna de m’installer, comme tout esclave devant sa maîtresse, sur un coussin quelle avait jeté devant ses pieds. J’étais fasciné par ses pieds gainés dans des bas de couleur chair, qu’elle laissait se balancer à quelques centimètres de mes lèvres. J’avais envie de les renifler, de les embrasser, de les lécher, de les prendre dans ma bouche, comme une partie de ma Maîtresse. Mais elle ne l’entendait pas ainsi et me dit : — Je veux que tu te branles en pensant aux pieds de ta Maîtresse, mais que tu fermes les yeux et que tu cesses de regarder durant tout ce temps que tu te branleras. Tu appartiens tout entier à ta Maîtresse, donc à ses pieds. Mais je t’interdis pour l’instant de les toucher, de les embrasser, de les caresser… Elle vit alors que j’allais protester et elle me gifla violemment, en m’ordonnant d’obéir sans faire d’histoires inutiles, sinon elle n’hésiterait pas à me donner la fessée… Alors je fis ce qu’elle voulait et, toujours à genoux devant elle, rouge de honte, je commençai à caresser ma petite verge. Mon excitation était telle d’être ainsi humilié par ma Maîtresse qu’en quelques allers et retours, je jutai abondamment sur la culotte noire qu’elle avait tirée de dessous son oreiller et placée sur le sol entre ses jambes. J’étais vidé par cette jouissance, humilié d’être à ses pieds, mais ...
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