1. Objet sexuel pour femme dominante


    Datte: 23/11/2018, Catégories: fh, fagée, poilu(e)s, hsoumis, fdomine, chantage, cérébral, odeurs, BDSM / Fétichisme pied, Masturbation Oral nopéné, sm, gifle, init, fplusag, hsoumisaf,

    ... demeura un long moment allongée sur son lit, pour se remettre de la jouissance qui venait de l’anéantir. J’étais resté à ses pieds comme une bonne petite chienne aux pieds de sa Maîtresse sévère, osant à peine respirer de peur de gêner son repos. Elle finit enfin par se relever lourdement et après avoir lentement relevé sa culotte, elle m’ordonna : — Allonge-toi, petit esclave ! Puisque tu aimes regarder et toucher mes culottes sales, puisque tu aimes t’enfouir dans mon jupon pour sentir ma culotte un peu pisseuse, tu vas être servi ! Elle s’est alors placée à revers sur mon visage en le calant entre ses fortes cuisses, m’étouffant à moitié sous ses larges et lourdes fesses. Eh bien, j’étais si impressionné par elle, si maladroit, que je n’avais même pas pensé à prendre ma respiration, et le manque d’oxygène faisait de moi un petit pantin, encore plus docile. Je sentais le parfum chaud et puissant de la culotte de Madame Liz, il m’enivrait, il tournait la tête du petit puceau que j’étais. Madame Liz resta un long moment ainsi pour jouir du plaisir de m’humilier, de me montrer qu’elle était la Maîtresse sadique et moi le petit esclave soumis à tous ses désirs, même les plus lubriques, les plus sales, tout en sachant très bien que j’y trouvais aussi un précieux plaisir masochiste. Elle savait dorénavant que j’étais prêt à subir toutes ses volontés, que je prenais plaisir à être entre ses mains, et pour signer ce pacte de soumission, elle m’envoya à respirer un pet… Certaine ...
    ... dorénavant de ma soumission, elle s’exclama : — Maintenant, petit esclave domestique, tu vas me faire un bain de pieds ! J’approchai une grande cuvette d’eau tiède qu’elle avait été chercher pour la poser à terre, sur le parquet près de son lit. Elle avait mis quelques gouttes d’eau de Cologne dans l’eau, puis m’avait ordonné de m’accroupir devant la cuvette. — Allons, obéis ! Là, un genou à terre pour être plus solide, tu en auras besoin, crois-moi mon petit. Bien ! Baisse la tête… La poitrine appuyée sur ton genou dressé… Tu comprends, cette fois ? Elle s’est alors assise sur ma nuque, heureusement en mettant ses deux pieds dans l’eau de la bassine. Elle ajouta en riant : — Tu verras au moins de près ce que tu fais ! Malgré les fenêtres entrouvertes de sa chambre, pas un souffle d’air ne passait. La chaleur de cette après-midi de juillet, s’ajoutant aux vapeurs d’eau chaude répandues dans la pièce, le poids de sa personne assise sur moi, et qui comprimait ma poitrine sur ma jambe, me fatiguait beaucoup et je n’aurais pas pu longtemps continuer à ainsi supporter le large postérieur de ma Maîtresse. Je me hâtai donc de savonner ses deux jolis pieds féminins, puis de les sécher, et Madame Liz précisa : — Il faut achever la toilette de ces jolis pieds, mon chéri, en y déposant des baisers ! Éperdu d’amour pour cette femme dominatrice, rougissant jusqu’aux yeux, je pris chacun de ses pieds et les baisai religieusement, avant de leur passer les mules roses qui se trouvaient au pied ...
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