les fantasmes de Lisa (3)
Datte: 23/11/2018,
Catégories:
Divers,
... deux puis trois doigts, les a fait tourner sans douceur pour dilater et lubrifier mon anus, puis satisfait de son œuvre, il s’est enfoncé en moi d’un coup de rein, sans ménagement. De temps en temps, il me claquait les fesses. J’ai crié de douleur à chaque coup tant cela me faisait mal, ce qui l’a bien fait ricaner. Il a fini par jouir après plusieurs violents, douloureux et derniers coups de reins, pour me finir, selon son expression, et j’ai senti sa semence couler en moi comme une délivrance chaude et humide. C’était bon ! J’étais épuisée, c’était fini, enfin ! Je me suis écroulée sur les avant-bras, le front contre le tapis, épuisée, la bouche ouverte pour reprendre ma respiration. Des spasmes nerveux secouaient mon corps. Alfred m’a laissée quelques instants dans cette position, puis il a relevé ma tête et m’a fourré sa queue dans la bouche. Je l’ai sucée. Il m’a remis à quatre pattes comme un pantin et a méticuleusement filmé mon anus qui devait être encore bien dilaté et ma fente, en un long gros plan. Il a ensuite filmé mon corps meurtri, exigé que je me mette sur le ventre puis sur le dos, que j’écarte ma vulve de deux doigts en fourche afin de bien mettre les pinces en valeur et ne rien omettre, puis il a filmé mon visage en gros plan. Je devais être décomposée, mais j’ai tenté de faire bonne figure. J’avais hâte de voir ce film ! Il a exigé que je marche à quatre pattes dans la pièce. Il me filmait. Les deux pinces pendaient entre mes cuisses zébrées de traces ...
... rouges et bleues. Je faisais selon son désir pour le satisfaire. « T’aimes ça, pas vrai ? Va falloir que j’achète une laisse et un collier pour la prochaine fois! On va encore bien s’amuser, tu verras !» Il a ri de cette idée, puis, à son habitude, son film terminé, et alors que j’étais toujours à quatre pattes, il m’a demandé de dégager, d’un mot, sans même dire s’il était satisfait ou pas de ma prestation. C’est incroyable, mais j’étais déçue de son silence! J’attendais donc qu’il me remercie ou bien ? A cet instant, j’ai mesuré à quel point j’étais complètement hors du coup. J’avais été livrée à une brute, à un dingue, c’est tout ! Et il avait bien profité de moi et de mon tempérament de soumise pour satisfaire son sadisme. Je me suis habillée devant lui comme j’ai pu. Il m’a regardée faire d’un air goguenard. Cela l’amusait de me voir me contorsionner et grimacer. Il a voulu que je replace les pinces sur le bout de mes seins. Devant lui, je l’ai fait en gémissant, puis j’ai rangé mon soutien gorge et mon string dans mon sac à main, j’ai difficilement remis ma robe et mon manteau tant j’avais mal, avant de sortir et de remonter dans le taxi pour rentrer chez moi. M’asseoir a été douloureux. J’étais déchirée, écorchée, mais, finalement, fière d’avoir surmonté cette épreuve. J’ai remarqué que le vieux Schuller organisait tout de manière très précise. Lui, au moins, me suis-je dit, il ne me fait pas mal ! Enfin, pas vraiment. Ses coups de tapette ou de cravache m’excitent et me ...