les fantasmes de Lisa (3)
Datte: 23/11/2018,
Catégories:
Divers,
... chauffent le cul, tout au plus. Ses pinces me font mal, bien sûr, mais pas autant que celles-ci que je portais encore. Une vingtaine de minutes après, j’étais chez moi et je me suis immédiatement déshabillée pour retirer les pinces, prendre une douche, me laver la bouche et les dents et, finalement, tenter d’effacer toutes les traces de cette soirée particulière. La douche fût très douloureuse et je me suis tamponnée le corps avec une serviette de toilette très douce pour le sécher sans trop souffrir. Je venais de revêtir mon peignoir en soie, le plus léger, quant la sonnette a retenti. Je n’attendais personne ! Le fol espoir qu’Arnault soit là m’est venu à l’esprit! Je me suis dépêchée d’ouvrir la porte. Bien évidemment, ce n’était pas lui, mais Lydie, une masseuse chez laquelle je suis allée de temps à autre et qui, je le sais, a le béguin pour moi. Elle doit avoir environ 35 ans et pourrait être vraiment très attirante si elle faisait un peu d’efforts pour s’habiller autrement qu’en petit mec négligé. -« Bonsoir, Lisa ! On m’a demandé de venir chez toi pour te soigner le dos après, m’a-t-on dit, qu’une activité un peu spéciale y ait laissé des traces ! » Je l’ai laissée entrer puis elle a sorti une bouteille de jus de fruit de son sac. « Voilà un jus hyper vitaminé qui va te faire du bien ! En le buvant, tu vas prendre ces cachets : un myorelaxant, un décontractant et un antalgique puissant pour aider ton corps à combattre la douleur ! » Je l’ai remercié, j’étais quasi ...
... absente et j’ai pris ces médicaments en buvant le jus qu’elle m’offrait. Ensuite, elle a sorti deux baumes différents pour soigner ma peau. « Bon, voyons un peu ce qu’ils t’ont fait ! » Elle a ouvert mon peignoir et regardé ma poitrine et mon ventre, avant de palper délicatement et attentivement mes seins, les mamelons tuméfiés, la peau zébrée par les coups de martinet. « Bon, je m’attendais à pire, c’est spectaculaire mais ce n’est pas trop grave et ces deux baumes vont traiter cela en atténuant la tuméfaction et en régénérant la peau. » Elle a pris la première pommade et, très doucement, en a enduit chaque trace de lanière sur mon ventre et ma poitrine. Elle a ensuite appliqué cette pommade sur mes tétons et le galbe de mes seins, le plus doucement possible car cela me faisait très mal. « On va attendre un peu que ce baume pénètre bien, puis on appliquera le deuxième et après, on s’occupera de ton dos ! » J’étais épuisée et je me laissais faire. Elle m’a servi un nouveau verre de jus de fruit, puis a appliqué la deuxième crème sur ma poitrine et mon ventre. La sensation de brûlure s’est atténuée un peu. « Viens on va aller dans ta chambre, tu retires le peignoir, tu te mets sur le ventre et tu ne bouges pas parce que là, il y a plus de travail ! Avec ce que je t‘ai donné, tu vas te relaxer et peut-être même t’endormir ! Je vais faire mon boulot et je refermerai la porte derrière moi en partant ! » Je ne disais plus rien, j’étais comme dans du coton ! Sa main enduite de baume a ...