Rupture
Datte: 23/11/2018,
Catégories:
fh,
69,
pénétratio,
... tête dans le compas ainsi ouvert. — Lâche-moi, j’ai du travail. Tu es un cochon. Mais elle ne s’est pas fâchée. Robert a obéi, s’est redressé, s’est placé derrière elle, a posé les mains sur les fesses, soulevant la jupe. — Attend, laisse-moi tranquille, sinon les côtelettes vont être trop cuites. Mais je ne te tiens pas les mains, tu peux travailler » Chacun a poursuivi ses occupations : cuisine pour l’une, massage pour l’autre. Après quelques secondes, elle s’est retournée. — Robert, mangeons, d’abord. Ce « d’abord » est plein de sous entendus et de promesses. Le repas s’est déroulé en silence, chacun regardant l’autre, lui souriant, songeant à la suite à donner aux prémices. En esthètes, ils font durer ce temps, sachant bien quelle serait l’issue de la soirée. En commun, ils ont débarrassé la table, s’installant cote à cote dans le divan. — Robert, je suis une vieille. J’ai pas mal vécu. Je ne veux pas que tu te fasses d’illusions. Passer un moment agréable, peut-être, mais pas d’engagement.— Je suis entièrement d’accord, je suis trop jeune pour me mettre en couple. Mais laisse-moi te dire, tu as dit « vieille, j’ai connu des filles, plus jeunes que toi, certes, mais aucune aussi belle, et je suis sincère. Elle lui a fermé la bouche d’un baiser voluptueux. Immédiatement il a compris que ce ne serait pas lui qui mènerait la danse. Leurs lèvres sont restées longtemps jointes, les mains d’Isabelle bloquant la tête de son partenaire. Il a glissé les mains sous le polo, ...
... trouvant la fermeture du soutien-gorge. Elle a décollé son dos du dossier pour lui faciliter la tâche. Ainsi il a pu atteindre la poitrine libérée. Desserrant son étreinte, elle s’est laissé dépouiller des vêtements qui masquaient son torse. Se soulevant légèrement, elle l’a incité à continuer son agréable travail. Nue, elle s’est redressée, l’a pris par la main, et comme un enfant l’a amené dans sa chambre. Comme un gosse, elle l’a déshabillé, éprouvant quelques difficultés à descendre le caleçon accroché à un mât bien dressé. Allongée en travers du lit, jambes pendantes, écartées, elle s’est offerte attendant pour juger de son comportement. Pressé, comme un débutant, cherchant à vite profiter de sa proie, attentionné comme un expert ou tout simplement classique ? Rien. Seulement un regard admiratif qui vaut tous les compliments. Se mettant à genoux, il a posé ses lèvres sur la mousse déjà humide. Lentement la langue a fouillé pour dénicher la petite framboise, l’a nettoyée, chatouillée, pendant qu’un doigt s’introduisait dans la grotte mouillée. Une légère plainte l’a rassuré, deux mains sont venues se poser sur sa tête pour guider, presser, activer cet instrument de plaisir. La plainte est devenue gémissement, qui s’est amplifié, puis un bref cri, une contraction et une source est venue abreuver la bouche quémandeuse. Les mains ont empoigné les cheveux et ont remonté les lèvres pour goûter à la saveur féminine. Nouveau baiser, épicé à présent. Entre ses jambes, elle sent l’outil ...