1. La Paillote, Pointe-Noire, RPC


    Datte: 24/11/2018, Catégories: hh, hbi, couleurs, inconnu, caférestau, nopéné,

    ... poussière que l’on « mange » toute la saison sèche ; la vie renaît, la végétation reprend, les gens sont plus joyeux. Aux premiers orages, les gamins des cités se précipitent pour jouer sous les gouttières qui débordent de partout, heureux d’un bonheur simple, celui d’avoir beaucoup d’eau pour se laver. Le nez dans les étoiles, la rencontre avec Alban me revient vite en mémoire. En repensant à celle-ci je ressens un bien-être profond. Cet homme m’impressionne. ________________________ J’avais connu ce sentiment il y a une douzaine d ‘années quand j’avais rencontré Jean, un homme mûr d’environ 45 ans ; j’en avais 18 à peine sonnés. Il m’avait charmé par son élégance et sa culture, je me sentais bien avec lui dès le premier instant. Nous avions commencé par quelques caresses (tiens ! comme avec Alban) puis nous sommes devenus amants réguliers ; je le voyais chez lui, puis un jour j’ai emménagé chez lui. Jean m’a initié aux plaisirs de l’amour, principalement au masculin. Tout au long de deux années il m’a éduqué progressivement et fait découvrir mon côté féminin que je pressentais être ma véritable nature. Mon visage aux traits fins et mon physique remarqué tant par les femmes que par les hommes aidait à cela. Blond, imberbe, peu de pilosité sur le reste du corps, des fesses rondes soulignées par une cambrure de reins prononcée attiraient les caresses de Jean et le regard de beaucoup d’hommes. Il m’avait fait découvrir la très grande sensibilité de mes tétons et m’encouragea à ...
    ... les développer. Avec le temps ils avaient gagné quelques millimètres, au plus grand plaisir de Jean quand il les prenait entre ses lèvres ou entre ses doigts pour les pincer fermement, ce qui me procurait un grand plaisir. Jean m’avait initié à la sodomie avec patience et conduit progressivement, le ventre transpercé de sa belle queue, vers l’orgasme anal. Une découverte majeure pour moi qui scella mon appartenance à cet homme et à la bisexualité qui, dans le temps, basculait peu à peu vers l’homosexualité. Je préférais les hommes aux femmes, et avec Jean c’était exclusif. Je ne voyais que lui, sauf à quelques reprises où, dans un sauna, il m’offrait à plusieurs hommes très virils. « C’est bon pour ton éducation ! » disait-il. Je devenais de mois en mois sa femelle, ce qui, sous son autorité, m’amena au travestissement. Ayant appris à marcher avec des escarpins – cela me travaillait la cambrure des reins – il prenait un très grand plaisir à m’exhiber en robe, portant aussi une perruque et des dessous de dentelle très féminins sur une épilation totale. Il m’emmenait ainsi dans les rues ou des lieux de rencontre pour gays, dans les bois de préférence. Parfois nous allions sur une plage naturiste au bord d’une rivière fréquentée par des homosexuels. Il m’exhibait, nu, attaché à une laisse comme une chienne bien dressée. Mon passage en faisait bander plus d’un. J’aimais, plus que tout, être sa femelle dévouée à satisfaire tous ses plaisirs. Je glissais peu à peu vers l’esclavage ...