1. Anna, pourquoi pas


    Datte: 24/11/2018, Catégories: ffh, extracon, grosseins, groscul, cinéma, fête, amour, Oral pénétratio, champagne, conte,

    Anna, cette charmante femme voluptueuse et gironde, je la baisais de temps à autre, quand son mari partait en déplacement, ou en week-end avec leurs fils. Elle trouvait souvent un prétexte pour ne pas les accompagner. C’était vraiment excitant, dès qu’il y avait un espace, je venais chez elle la chevaucher, la tringler ardemment. Quand je l’avais connue, elle était un peu prude, un brin timide, mais avec le temps, c’était devenue une déesse de sexe sans complexe, une adorable cochonne, une gourmande de première. À quarante-deux piges, elle tenait encore bien la route. Des anecdotes avec elle, j’en avais des kilomètres depuis la première fois où je l’avais calcée dans le hall de son bâtiment, et qu’elle avait pris l’ascenseur, la petite culotte et la chatte dégoulinantes de mon foutre. C’était la première fois qu’elle trompait son mari, mais ce fut loin d’être la dernière. Depuis que je m’étais chargé de décharger en elle, de lui faire apprécier l’adultère, de lui donner envie d’enfreindre les règles de la bienséance, elle était devenue une coquine de première, prête à s’envoyer en l’air à la moindre occasion. Après cette première fois, on se voyait régulièrement dans le resto où elle officiait pour taper un brin de causette, mais quelques semaines passèrent sans que nous remettions le couvert. Je sentais bien dans son regard qu’elle avait à nouveau envie de se faire trousser, mais elle était encore un peu trop farouche pour me proposer de lui remettre un coup dare-dare. ...
    ... Alors, vu qu’elle habitait à deux pâtés de maison de chez moi, je me décidai à lui passer un coup de fil un matin en lui proposant d’aller boire un café en bas de chez elle. Elle bossait à midi, mais n’était pas prête, elle était en train de prendre son petit déj’, j’avais qu’à monter lui faire un petit coucou chez elle (vu que son mari et ses fils étaient déjà respectivement au boulot et à l’école). Dans l’ascenseur, je commençais à avoir une bonne gaule en imaginant dans quelle tenue elle allait m’accueillir. Coup de sonnette, elle m’ouvrit, me fit la bise en me tenant par les épaules ; elle sentait bon, son parfum me flatta les narines, me régala le tarin. On était encore en hiver, et elle portait une petite jupe noire plissée, un pull court et moulant, un collant opaque, et des talons aiguilles. Elle était bien bandante, j’avais chaud dans le bas-ventre. Je me suis assis dans la vaste cuisine où trônait une belle table en chêne massif. Debout, à côté de moi, elle me servit un café serré. Je profitai de cette proximité pour faire glisser ma main sur le dos de sa cuisse, elle s’écarta gentiment pour freiner mes ardeurs. Je l’assis alors fermement sur mes genoux, et commençai à la biser dans le cou. Elle fit mine de se relever, mais elle se laissa embrasser de plus belle sur la joue, le menton, les lèvres. Je commençai à lui caresser les seins à travers le pull, doucement, lentement, tout en lui déposant de doux baisers sur la bouche. Elle se releva d’un coup et me dit : — ...
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