1. Anna, pourquoi pas


    Datte: 24/11/2018, Catégories: ffh, extracon, grosseins, groscul, cinéma, fête, amour, Oral pénétratio, champagne, conte,

    ... après le début de la projection, je glissai ma main au chaud, à l’intérieur de sa cuisse, je sentis frissonner sa chair au contact de mes doigts inquisiteurs. Puis quand j’arrivai au contact de la robe, Anna se souleva doucement de son siège pour me laisser la remonter jusqu’au-dessus de sa culotte. Nous ne nous étions pas encore embrassés, mais ma main fouillait déjà sa belle toison blonde. Je lui titillais doucement le clitoris, puis enfonçai mes doigts dans son antre, appliquant de longs mouvements de va-et-vient lascifs. Elle avait les yeux fermés, se laissait aller au plaisir, passive. Au fur et à mesure, mes doigts se sont activés, imprimant une cadence plus dense, plus puissante, elle gémissait discrètement pour ne pas alerter la salle de nos jeux. Je lui prodiguai une longue séance de fouillage de touffe, ça la faisait minauder délicieusement, elle était trempée, et d’un coup, je sentis tout son corps se crisper. Elle jouit sans bruit, sensuellement, en frétillant du cul. D’un geste lent et assuré, je défis ensuite ma ceinture, les boutons de mon jeans, sortis ma queue émue du caleçon, et lui glissai dans la paume. Elle commença à me masser lentement les boules et la bite, me palucha avec délectation, les yeux rivés sur l’écran. Elle tirait doucement sur ma tige, elle prenait son temps. Je n’en pouvais plus, je voulais sa bouche sur mon membre. Je relevai alors l’accoudoir qui nous séparait, et d’un geste ferme et autoritaire, j’appuyai sur sa tête pour la pencher ...
    ... vers mon sexe dressé. Elle n’émit aucune résistance, et commença à me lécher le gland, à le laper savoureusement. C’était notre troisième rendez-vous fripon, et elle ne m’avait encore pas prodigué de pipe, c’était le moment d’y remédier. Elle goba une première fois mon gland, furtivement, puis une deuxième fois, avant d’avaler ma queue entière, de l’aspirer complètement. Elle commença à me sucer avec délice, elle pompait avec gourmandise, la chaleur de sa bouche sur ma bite me procurait de vertigineuses sensations. Cela dura de longues minutes, elle ne perdait pas une miette de ma tige, la dévorait maintenant comme une folle, elle me suçait à vive allure, m’aspirant, me gobant, me lapant à n’en plus finir. Je sentis la sève monter dans la colonne, et je lui appuyai gentiment sur la tête pour lui faire comprendre que je désirais qu’elle me goûte. Elle ne protesta pas, et avala toute ma semence, de longs jets de foutre coulaient dans sa gorge, aucune goutte ne fut perdue. Elle me nettoya le gland, me le fit reluire savamment. Je lui résumai ensuite le quart d’heure de film qu’elle avait raté, la tête plongée sur ma queue. On rigolait, c’était une belle séance de cinoche. La quatrième fois s’est passée dans mon appartement. Je vivais seul à l’époque. Je savais qu’elle allait tous les samedis matins dans un club de remise en forme, à deux pas de chez moi. Je lui téléphonai donc le vendredi pour lui proposer de passer le samedi midi, après sa séance de sport, histoire qu’elle voie à ...
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