1. Anna, pourquoi pas


    Datte: 24/11/2018, Catégories: ffh, extracon, grosseins, groscul, cinéma, fête, amour, Oral pénétratio, champagne, conte,

    ... quoi ressemblait mon lieu de vie. Elle accepta, mais me dit qu’elle ne pourrait pas rester trop longtemps, vu qu’elle déjeunait avec son mari. Elle sonna à l’interphone aux alentours de 11 h 40 (elle était en avance la coquine). J’habitais au cinquième étage, je lui ouvris. Je l’embrassai furtivement dans le cou, sentant le sel de sa peau après l’effort. Elle me dit : — Ne m’embrasse pas, je n’ai pas eu le temps de prendre ma douche après le sport, je sens la sueur ! Elle portait un leggins gris clair qui moulait parfaitement son bon gros cul bien ferme, un débardeur qui épousait les formes rondes de ses très gros seins, et une paire de baskets et socquettes blanches. Dans la cuisine, je lui proposai un verre de jus de fruit, qu’elle accepta avec un joli sourire. La sueur perlait un peu sur sa peau, ça me foutait encore plus la gaule, j’avais envie de goûter à cette peau d’après l’effort. Elle se servit un verre d’eau au robinet. Ni une, ni deux, je m’agenouillai derrière elle, et pris ses deux globes fessiers entre mes mains. — Quel cul magnifique, je suis sous le charme, tu me mets en ébullition ! Sans se retourner, elle me dit : — Arrête, il faut que je rentre à la maison, mon mari m’attend pour déjeuner. Je baissai le leggins et le string jusqu’à ses chevilles en lui répondant : — Accorde-moi dix minutes, que je profite un peu de cette vue. J’avais le nez sur sa raie, je commençai à laper ce cul, le goût de sa sueur me fit bander très fort. Je léchais cette raie avec ...
    ... gourmandise. J’ai enlevé son leggins et son string, elle n’avait plus que ses baskets et son débardeur sur elle. Je la retournai, et commençai à lui faire une minette, lui bouffer le gazon, lui astiquer la motte avec ma langue. Elle avait posé sa jambe sur mon épaule, et me caressait les cheveux pendant que je goûtais à son sel vaginal. Elle gémissait de plus en plus fort, et quand je me suis attardé sur son petit bouton, son corps s’est contracté, et j’ai pu déguster sa sève tout en la regardant jouir. Je l’emmenai ensuite dans la chambre, la basculai sur le lit, elle me dit : — Je n’ai plus le temps, il faut que je rentre, tu exagères ! Je baissai mon bermuda et mon caleçon d’un coup, prenant ma queue dressée en main tout en lui répondant : — Tu ne peux pas me laisser comme ça, ma chérie, tout de même. Elle écarta lentement les jambes tout en ne quittant pas une seconde des yeux mon engin. Je me positionnai entre ses cuisses, et sans attendre (vu qu’elle était pressée), je la pénétrai d’un coup. Elle gloussa. Je pris ses mollets et les posai sur mes épaules pour l’enfiler le plus profond possible. Commença alors une bonne baise sans chichis, elle était là, cuisses en l’air, baskets aux pieds, à se faire déboîter en poussant de petits cris rythmés. C’est la première fois depuis qu’on s’envoyait en l’air ensemble que je me mis à lui dire quelques insanités : « Tu es une belle chienne en chaleur », « Ma petite salope préférée », « Si ton mari voyait comme tu es cochonne avec moi ...
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