Chronique - Cinquième partie
Datte: 25/11/2018,
Catégories:
fh,
grossexe,
vacances,
fête,
... tirant sur un long fume-cigarette ; absorbée par la contemplation d’un magnifique ciel étoilé, elle ne m’a pas vu. Je m’avance vers elle — Mais comment se fait-il qu’une aussi jolie fille que vous reste seule dans ce lupanar géant ? Elle se retourne, me sourit. — Je ne suis plus seule, puisque vous voilà. Oh cette voix ! Du miel ! — Vous m’attendiez ? Elle tire sur sa cigarette, renvoie la fumée vers les nuages — Peut-être… vous étiez où ?— Pas très loin… vous êtes Chinoise ?— Thaïlandaise.— Et comment on dit : j’ai envie de vous, en thaïlandais ? Elle se lève, vient contre moi, passe ses bras autour de mon cou. — À quoi bon vous le dire, vous ne comprendriez pas, et puis moi, je préfère de beaucoup l’entendre en français. Waouh ! de toute évidence, elle a très envie d’approfondir notre relation ! alors si elle aime l’entendre en français, on ne va pas se gêner ! — J’ai envie de toi ! En guise de réponse, elle pose son front contre le mien, ses lèvres sur les miennes, sa langue s’insinue dans ma bouche… Dieu que c’est bon ! Oh ce baiser ! Malheur ! Il me la faut ! Vite ! Tout de suite ! Les mains plaquées sur ses fesses, je la colle contre moi ; bon sang ! je bande à n’en plus pouvoir ! Vite, vite, c’est l’état d’urgence ! Je l’entraîne vers le banc où elle était assise, mais elle me retient : — Non, pas ici, viens ! Elle m’entraîne à l’intérieur, on traverse une pièce où un couple est en train de s’envoyer en l’air à même le sol, pendant qu’un gros type bedonnant se ...
... masturbe comme un malade en les regardant faire ; c’est vraiment n’importe quoi ! On arrive dans une pièce sobrement meublée d’un unique canapé, mais on s’en fout, pas besoin d’autre chose ! Je malaxe ses seins à pleines mains pendant qu’elle s’assure que ma queue est tout à fait opérationnelle et conforme à ses désirs ; je retrousse sa robe, pas le temps de l’enlever ! Sa culotte, maintenant, vite, et là, je retire ma main comme si je prenais l’équivalent d’une décharge de 380 volts, au moins ! Oh le bond en arrière ! C’est qu’elle est occupée sa culotte, et par des attributs tout ce qu’il y a de plus masculin ! Qu’est-ce que ça veut dire ? Parce que, extérieurement, c’est une fille ! Sa poitrine, c’est une vraie, bien palpable, pas de doute la dessus, je m’en suis aperçu… et puis soudain, je comprends, une transsexuelle ! Et thaïlandaise, comme de juste, j’aurais dû me méfier. Elle me regarde, l’air complètement dépité : — Tu ne le savais pas ? J‘enrage ! Partagé entre colère et dégoût, j’explose ! — Non, je ne le savais pas ! Et tu aurais pu me le dire, au lieu de m’exciter comme tu l’as fait, tiens, je ne sais pas ce qui me retient de te gifler ! Ma colère ne la désarme pas, au contraire, elle me prend la main. — J’ai tellement envie de toi.— Eh bien, tu te trouveras quelqu’un d’autre, salope ! Je me rends compte que je viens d’être ignoble, mais ma colère ne retombe pas ! C’est que moi aussi, j’avais envie d’elle, tellement ! La robe retroussée jusqu’au nombril, la culotte ...