Chronique - Cinquième partie
Datte: 25/11/2018,
Catégories:
fh,
grossexe,
vacances,
fête,
... invités, maintenant entièrement nus pour la plupart, mais pas tous ; c’est du délire, je n’imaginais pas que ça puisse exister, des trucs pareils ! Parce qu’il se passe des choses ; à commencer par mes deux jeunes de tout à l’heure ; ils sont nus, maintenant, et elle, agenouillée devant lui, le suce à n’en plus pouvoir pendant que son partenaire frappe des mains en cadence sur la musique, tout en tirant sur ce qui ressemble à une cigarette, mais qui de toute évidence, n’en est pas vraiment une. D’ailleurs, il commence par il y avoir un peu trop de fumée, dans cet endroit et trop de monde ! Un repli vers le patio s’impose. Et là, pareil, même ambiance ! Tiens, ici trois filles, complètement nues sont en train de pousser des petits cris devant un type qui prend des poses idiotes sensées le mettre en valeur : — Stéphanie ! Regarde ! Ce ne serait pas lui le roi du porno ? On s’approche ; elle jette un œil, se tourne vers moi. — Non ! Mais tu vois ce que je vois ? Ça pour voir, je vois ! Je ne vois même que ça ! C’est pas possible un engin pareil ! C’est monstrueux ! Un sexe d’âne greffé sur un humain ! Pas possible autrement ! Et c’est sûrement ce que doivent être en train de se dire les trois filles ; elles regardent l’objet, s’interrogent du regard, hésitent à toucher tout en se demandant si un truc pareil est compatible avec leur capacité d’accueil ! Mais c’est une question que ne se pose même pas Stéphanie ! Elle est comme en hypnose, ses yeux ne peuvent se détourner de « la ...
... chose » — Tu sais que j’ai très envie de faire sa connaissance …— Avec qui ? Avec le type ou avec sa queue ? Elle sourit. — Avec l’homme d’abord, ensuite, on verra… « L’homme », c’est bien sûr Alan Bigcock ; pas très grand, assez mince et très brun, type méditerranéen, il a déjà remarqué l’intérêt que Stéphanie porte à sa panoplie de culbuteur professionnel ; il écarte les trois donzelles et lui tend la main ; elle se tourne vers moi. — Je crois que c’est bien parti, alors à tout à l’heure, mon chéri… alors tâche de te trouver quelqu’un… C‘est l‘évidence même ! Et je vais commencer par me mettre en quête de ma petite asiatique, moi. Elle ne s’est quand même pas envolée ! Tiens, Erwan ! Il tombe bien, celui-là ; c’est lui qui s’occupe de la sono, en fait ; il n’est pas nu, du moins pas encore, puisqu’une jolie brunette en tenue d’Ève est en train de s’en occuper. Il m’aperçoit, m’interpelle — Tu as perdu ta meuf, on dirait ?— Provisoirement, mais dis-moi, je cherche une jeune asiatique, tu ne l’aurais pas vue, par hasard ? Il rit : — Si c’est Barbara que tu cherches, tu la trouveras vers la piscine, mais… Il n’a pas le temps d’en dire davantage, la brunette, qui trouve que l’intermède a assez duré lui colle d’autorité sa langue dans la bouche ! Drôlement impatiente, la fille ! Et mal élevée ! Et effectivement, elle est là, ma beauté mystérieuse, prénommée Barbara. Elle n’a pas quitté sa robe, et assise sur un petit banc, les jambes croisées, elle fait des volutes de fumée en ...