1. Cocu or not cocu


    Datte: 26/11/2018, Catégories: fh, extracon, collection, amour,

    ... notre hôtesse ! Une pantagruélique paella trônait là, toute colorée et odorante. Un régal pour les yeux qui annonçait le même plaisir pour nos palais. Je vous laisse deviner comme ce festin fut convivial. Tout en nous régalant et buvant copieusement - un puissant vin rouge de Rioja - nous ne cessions de bavarder, de galéjer et de rire de tout et de rien. L’alcool aidant, au fur et à mesure nos discussions devenaient de plus en égrillardes. Quand, enfin repus et déjà bien partis, nous avons rejoint le salon pour déguster la savoureuse sangria de Manuela, nous étions tous à moitié pliés de rire à l’évocation des prouesses sexuelles de Fred. Car, depuis un moment, celui-ci était parti dans une longue évocation de sa liaison avec une naine gourmande. Gourmande de sexe, bien sûr ! Il racontait comment il la prenait à bout de bras. Et comment une fois, ainsi accolés, il s’était pris les pieds dans le tapis et tous deux avaient alors lourdement chuté, sans s’être même interrompus, toujours soudés l’un à l’autre. Il mimait la situation de manière cocasse, se roulant par terre et ondulant des hanches comme dans un coït ininterrompu, sous les rires gras de nos femmes. Une fois dans le salon, chacun s’est lancé dans une histoire croustillante. Les hommes d’abord puis, mises en confiance, soudain, leurs compagnes. Toutes les inhibitions évaporées sous les effets des boissons, les jeunes femmes s’étaient lâchées. Sans pudeur ni retenue, elles se laissaient aller aux confidences les plus ...
    ... scabreuses ! Je rapporte ici les diverses expériences de manière succincte, car tel n’est pas le sujet de l’histoire, mais je vous prie de croire que les narrations ne manquaient pas de détails croustillants. L’ambiance était montée d’un cran, et les filles, visiblement, prenaient un trouble plaisir à étaler ainsi leur sexualité débridée. L’alcool généreusement servi avait atténué toutes leurs craintes d’être mal jugées. Manuela a ainsi raconté être tombée amoureuse d’un type extra beau, mais malheureusement doté d’un petit zizi minuscule, un micro pénis d’à peine six centimètres, qui fondait dans sa bouche mais qu’elle avait du mal à ressentir. Frida, au contraire, nous a assuré s’être enfuie lorsque son amant d’un soir s’était déshabillé, exhibant un chibre monstrueux ! — Il aurait défoncé ma petite chatte, avait-elle précisé en riant. L’affolante Sonia a narré sa nuit dans un club échangiste où elle s’était lâchée sous les yeux de son ex. Elle ne savait même pas combien d’hommes l’avaient honorée. Martina, quant à elle, ce qui l’avait marquée, c’était sa brève et furtive étreinte avec un inconnu dont elle avait tout ignoré, jusqu’au prénom. Les rires étaient devenus rares et les plaisanteries graveleuses. Une excitation sourde emplissait l’air, et les femmes, belles et resplendissantes, rosissaient de leurs propres audaces. C’est alors que tous les regards de nos amis se sont tournés vers ma femme. Une sourde angoisse m’a soudain étreint. Connaissant ma femme, j’ai craint ...
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