1. Marie-Paule prisonnière du désir (1)


    Datte: 26/11/2018, Catégories: Erotique,

    ... Julien était stupéfait devant le spectacle que lui offrait la femme. Son visage était bouleversé et sublime dans l’émotion. Le pull de laine qui lui arrivait juste sous les fesses était tendu à l’extrême par sa lourde poitrine dont les tétons, encore dressés par l’effet de ses masturbations successives, apparaissaient bien clairement entre les mailles lâches de la laine tendue. Il s’approcha d’elle, craignant qu’elle ne défaille, et il reçut en pleines narines l’odeur de sexe que dégageait la belle brune. — C’est formidable Marie-Paule ! dit-il lorsqu’elle lui tomba dans les bras. Il la serra contre lui et sentit s’écraser sur son jeune torse les lourds nichons. Cette pression surprenante éveilla en lui un soudain désir qu’il n’avait jamais osé imaginer entre cette femme de quarante ans à la dérive et lui, un jeune marié au bonheur parfait. Enivré par l’odeur bestiale de sexe et de sueur, il se mit à bander instantanément contre le ventre collé au sien, dans l’étreinte involontaire qui les unissait. Marie-Paule leva ses beaux yeux noyés de larmes vers lui et sentit la mâle réaction de Julien contre elle. Ils ne surent jamais qui des deux avait appuyé le premier sa bouche sur celle de l’autre. Une longue étreinte les unit où leurs bouches se fondirent l’une dans l’autre ; où leurs salives se mêlèrent ; où leurs langues jouèrent à se perdre pour mieux se retrouver ; où morsures et caresses tendres se succédèrent. Marie-Paule se blottit dans ses bras et Julien lécha les ...
    ... grosses larmes sur son visage. Très vite elle sentit remonter en elle ce désir qui la foudroyait si souvent et qui ne l’avait pas quittée de la matinée. Elle prit le visage du jeune homme dans ses mains et colla violemment sa bouche à la sienne. Subjugué par la brutalité d’une telle étreinte, il réagit pour ne pas tomber et la bascula sur la table de la cuisine. — Prends-moi ! lui dit-elle, d’une voix rauque qu’il ne reconnaissait pas. xnoxtthv Elle était allongée sur la table, cuisses ouvertes, le pull ne cachant plus rien de ses cuisses et de sa vulve rose et luisante encadrée de poils bruns. Julien craqua. Oubliant son épouse adorée qui devait s’inquiéter de son retard maintenant, il se dégrafa et sa queue vint naturellement contre le ventre de Marie-Paule. Elle était folle de désir. Elle oubliait tout. Elle ne pouvait se maîtriser. Ce n’était plus le jeune facteur si sympathique et attachant qu’elle avait entre ses cuisses, mais un homme, un vrai, avec une queue tendue et dure dont elle avait un besoin impératif. Elle ne se rendit même pas compte de la relative petite taille de son pénis quand sa vulve ouverte et trempée la reçut. Il était stupéfait par la sensation qu’il eut quand son gland se posa à l’entrée de la chatte béante qui lui parut un vrai gouffre, tellement elle était dilatée, lorsqu’elle l’aspira en elle. Il n’avait connu jusque-là que la fentine étroite de son épouse. De plus, il fut impressionné par le flot qui gargouillait autour de sa hampe dans un bruit de ...
«1...3456»