1. Joli papa Prélude 1


    Datte: 26/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... vous vous en fichez un peu, beaucoup. Encore un petit effort, j'y arrive, contexte oblige. C'est là que tout a basculé ma femme est tombée malade, saloperie de crabe, et elle est morte en moins d'un an. J'ai continué à m'occuper de la petite, mais je me suis mis à picoler et on ne peu pas dire que j'étais bien assidu au boulot. ----- Je n'ai pas remarqué que la gamine avait grandi. Elle avait été très affectée par le décès de sa mère, aussi je lui ai lâché la bride. Moins d'un an plus tard, elle s'est mise à porter des jupes ultra courtes, des vêtements moulants et sexy, mais là non plus je n'ai rien capté. Même quand elle se trémoussait à moitié à poil devant moi, je revoyais sa mère, je ne la captais pas. J'aurais du voir que mon indifférence la contrariait, mais la picole ne m'avait pas rendu plus futé. ----- Vous comprendrez peut être mieux pourquoi quand je suis rentré passablement éméché, de bonne heure, après m'être fait virer comme un traîne savate et que j'ai vu la femme que j'aimais (j'ai fait ce qu'on appelle un transfert, je crois), avec un gandin en train de se bouffer les amygdales dans la cour, j'ai pété les plombs. Ca va faire un peu cliché, mais mon sang n'a fait qu'un tour, je suis tombé sur eux comme un enragé. J'ai attrapé le gazier par le col et je l'ai éjecté plusieurs mètres plus loin les 4 fers en l'air. J'ai allongé une grande baffe à la gamine qui a quasiment fait un tour complet sur elle même avant de s'écraser par terre comme une m... Je ne veux ...
    ... pas trop être vulgaire, mais la gosse, je l'ai traité de tout, en la battant comme plâtre, à coups de poings, de pieds et de ceinture, Je me suis vraiment défoulé sur elle pendant quelques minutes d'une rare violence, jusqu'à ce que j'entende du bruit derrière moi. C'était le petit salopard. Quand je dis petit, il faut relativiser je ne suis pas très grand moi-même, 1.76m pour 70 à 80kg mais sans un gramme de gras. Le petit con comme je l'appelle, était un gaillard qui devait passer le mètre 90 et le quintal, entre 20 et 25 ans, une sorte d'armoire à glace avec une sale gueule de voyou balafré et tout le toutim. Il était allé chercher un couteau dans sa caisse. Il s'approchait de moi comme un danseur de tango un cran d'arrêt ouvert à la main. Il avait l'air de savoir se servir de son canif. J'ai récolté une bonne estafilade en bloquant son attaque et je lui ai mis la raclée de sa vie. Après l'avoir jeté dans sa petite bagnole de sport, je lui ai dit "si je revois ta sale gueule je te crève". De fait il n'a jamais re-pointé le bout du nez. La bagarre et peut être aussi la saignée, m'avaient fait retrouver mes esprit. J'ai voulu m'occuper de la gosse qui se redressait lentement. Elle était à genoux en pleurs et elle m'a imploré des yeux tout en me demandant pardon et en me disant qu'elle n'était pas une traînée mais une bonne fille et qu'elle ne ferait plus jamais quoi que ce soit de mal. Là encore je traduis car ces mots entrecoupés de sanglots et de reniflement étaient peu ...
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