1. La folie du pleutre 15. Epilogue 4


    Datte: 07/08/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... dressée sur la pointe de ses pieds nus, petit à petit s'abandonnant aux caresses de ce salaud, lui rend son baiser et d’où je suis je peux voir leurs langues se mêler au milieu d’un flot de salive. Je tremble et j'ai envie de pleurer. Je me sens vraiment cocu. Elle commence à gémir et frotte ses seins contre la poitrine nue et velue de son amant. Il lui lâche la tête car elle a accepté le baiser et de sa main libérée, il lui malaxe les seins sans aucune douceur, et lui pince fortement leurs pointes. Soudain, je l’entends lui dire : - Vient, je vais te baiser dans ta chambre à côté de ton cocu. Il a trop picolé hier soir et il doit dormir comme un innocent. Marion semble hésiter un court instant mais finit par céder. Rapidement. Trop rapidement à mon goût ! Il la pousse dans notre chambre. Vite je me couche et je fais semblant de dormir. Ma bite me fait mal tellement je suis excité par la situation. Marion apparaît la première, entraînée au pied de notre lit. Elle ne semble pas du tout gênée par ma présence ni de profaner notre nid ! Cette humiliation qu’elle me fait subir est ignoble. Entre mes paupières mi-closes, je distingue clairement qu'il la positionne droit devant moi. Il se place derrière et passant les bras sous les siens il lui saisit les seins à pleine main comme pour bien me montrer que ma salope de femme qui se laisse faire est sienne à cet instant. Et c’est vrai ! Marion a les yeux fermés et n’a aucune considération pour moi. Elle est toute à ses plaisirs ...
    ... pervers ! Les yeux mi-clos, semblant de dormir je ne rate rien de cette exhibition humiliante et excitante. Cette vision me glace le sang. Maintenant il glisse une main sur son ventre, pour la poser sur sa chatte. Je vois nettement le doigt, son majeur, replié pour s'enfoncer dans la vulve et la fouiller. Marion se contorsionner et gémir doucement semblant contenir son plaisir, sans doutes pour ne pas me réveiller. - Alors petite salope ça t’excite de te faire branler, doigter devant ton gugusse endormi. C’est bon, non de le cocufier. Je suis sûr que s’il se réveillait, il n’oserait rien dire et que même il serait content de voir le plaisir que tu prends en ce moment. Il la retourne face à lui et la main toujours entre ses cuisses, il l’embrasse à nouveau pleine bouche. Mon épouse de plus en plus excitée s'abandonne et ouvre ses lèvres et mélange sa salive à celle de son amant, mon beau-père. - Vient, on va plutôt aller retrouver ton cousin. Il doit avoir aussi envie de profiter de toi ma salope et de tes charmes. Il l’entraîne hors de notre chambre. Je les vois partir sur la droite vers celle du fond dans laquelle dort peut-être le cousin. Je ne me fais guère d'illusion sur ce qui attend Marion. . Ma mère a dû entendre des mouvements depuis sa chambre en bas. En plus elle doit avoir constaté l'absence de son mari à ses côtés. Ma tante qui devait partager avec son fils la troisième chambre à l'étage, se retrouve en bas dans une petite chambre d'amis, voisine de celle des parents. ...
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