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Exquise déchéance (1)
Datte: 01/12/2018, Catégories: Trash,
AVERTISSEMENT: HISTOIRE FICTIVE POUR LECTRICES ET LECTEURS AVERTIS Nous sommes au début du mois de septembre. En cette fin de matinée la chaleur est agréable, sans être écrasante. L’aire de repos est fréquentée, mais sans plus. Je suis assise sur un banc, juste devant les toilettes, fumant une cigarette. J’observe le va et vient des automobilistes. J’attends. Ma chatte est gluante. Elle l’est presque en permanence maintenant. Autour de moi, des tables de pique-nique dont certaines sont occupées. Le banc sur lequel je suis assise est tout près des toilettes pour hommes. Ceux qui passent à côté de moi ne peuvent s’empêcher de laisser traîner leur regard sur mon corps. Certains furtivement, presque gênés; d’autres avec une insistance très assurée. Les quelques femmes qui me regardent le font avec dédain. Ma réponse est toujours la même: un sourire désarmant. Il faut dire que je détonne, avec mon look de bimbo plus que caricatural. Mes longs cheveux blond platine sont tirés en arrière en une haute queue de cheval. Mes yeux verts fardés à outrance sont pour l’instant cachés derrière mes larges lunettes de soleil Gucci posées sur mon nez droit et fin. Mes pommettes hautes, et mes lèvres pulpeuses sur lesquelles j’ai appliqué un gloss rose parachèvent le tout, me donnant ce petit air de pétasse qui ne peut laisser indifférent. Je porte de grandes créoles, un collier" bling-bling" qui se perd entre mes seins siliconés, de multiples bracelets, dont un sur la cheville gauche. Mes ...
... ongles des mains et des pieds sont parés du même rose que mes lèvres. Quant à la tenue vestimentaire, elle n’arrange rien au tableau. La fine robe blanche que je porte est mon seul habit. Les bretelles ténues tendues à l’extrême on l’air d’être sur le point de craquer sous la pesanteur de mon 90 D, et l’indécent décolleté s’arrête à peine au dessus de mes tétons. Sous le coton on peut deviner que mes tétons sont ornés de deux petits anneaux. La robe moule mon cul bombé et se termine juste au dessus des plis fessiers. Si je me tiens debout, elle est tellement courte qu’en un seul regard on peut furtivement voir ma chatte lisse. Mais pour l’instant mes longues jambes sont croisées. Pour finir, je porte des escarpins blancs à lanières dont le talon avoisine les douze centimètres. Je suis la pétasse même, voire pouffiasse pour certains. Et j’aime ça. Ca m’excite. Ce que tous ignorent, c’est que mon cul est rempli d’un gros plug de métal, et que sur mes reins est tatoué en petits caractères gothiques le mot "salope". J’attends, donc... Depuis presque dix minutes maintenant, et je sors de mon micro-sac blanc et doré mon paquet de cigarettes et mon briquet pour m’allumer une deuxième clope. J’attends que mon portable sonne. Cela me paraît interminable. L’excitation ne cesse de grandir. L’appréhension aussi. Comme à chaque fois. Mes mains tremblent légèrement et ma chatte mouille de plus en plus. Je suis toujours dans l’inconnu dans ces moments là. Qu’est ce que Michel va encore bien ...