Exquise déchéance (1)
Datte: 01/12/2018,
Catégories:
Trash,
... repoussé son fauteuil, s’est levé et a fait le tour du bureau. Ses yeux ne m’ont pas lâché, son expression s’est faite plus dure, et il m’a semblé que la pièce s’obscurcissait. Il a défait sa ceinture, baissé d’un seul geste son pantalon et son caleçon. Il était tout près de moi, sa grosse queue à la toison fournie et à demi bandée à vingt centimètres de mon visage. Sa voix a résonné comme un coup de tonnerre. -Suce ma bite salope! Impossible de résister. Il le savait. Dans l’instant, je me jetais à ses genoux et ma bouche vorace engloutissait son membre épais. Il m’en a gavé, avant de me prendre violemment en levrette contre le bureau. Un quart d’heure plus tard il éjaculait dans mon cul. Sa queue encore plantée en moi, alors que j’étais couchée sur le bureau jupe retroussée et dépoitraillée, il s’est penché à mon oreille et m’a dit tout bas: -Oui... Il existe un autre chemin pour les petites putes de ton espèce... Nous allons faire de grandes choses tous les deux. Il s’est retiré brutalement, a remballé sa queue et a rajouté: -Ta thérapie a commencé. Reviens demain à la même heure. Et maintenant dégage. Je suis sortie du cabinet le cul rempli de foutre, un sourire béat sur le visage. Il y avait des années que je ne m’étais sentie aussi bien. Pendant toute l’année qui a suivit, Michel n’a eu de cesse de faire de moi une parfaite salope publique. Je suis progressivement devenue son jouet sexuel, et sa femme trophée. Il m’a modelée physiquement et mentalement à son bon ...
... vouloir. Il m’a appris à faire fi des conventions, de toute forme de morale et de dignité. Il faut être honnête, je suis encore bien plus accro au sexe qu’avant. Et Je lui appartiens, totalement. Je suis devenue un assortiment de trois trous assoiffés de sperme, disponibles 24H/24. En échange, je n’ai plus jamais manqué de bite et ma soif de stupre est largement étanchée. Personne n’a vraiment compris dans mon entourage mes changements progressifs, mes tenues toujours plus provocantes, mes prothèses mammaires, mon attitude de pétasse sans aucune ambigüité. Mes parents ont été choqués de me voir sortir au bras d’un homme qui aurait pu être mon père. Choqués que j’arrête mes études pour aller m’installer chez Michel, à peine divorcé. Mais ils me voyaient épanouie, alors... Finalement, je crois qu’ils n’ont pas été étonnés tant que ça de notre mariage. Un mariage dans les règles, à l’église. Dans les règles ou presque, car qui se serait douté que sous ma robe de mariée, je portais un gros plug anal qui retenait le foutre du témoin de Michel, un de ses confrères qui se livrait régulièrement sur moi à toutes les perversions? Qui se serait douté que la nuit de noces s’est terminée dans un hangar désaffecté, jusqu’au petit matin, à me faire tringler par tous les orifices sur un vieux matelas, par une douzaine de mâles en rut? Vous croyez que je suis une pauvre fille? Détrompez-vous. N’est pas toujours le dominant celui que l’on peut croire. Tous ces satyres ont autant besoin de moi que moi ...