1. Un ascenseur nommé désir


    Datte: 01/12/2018, Catégories: fh, inconnu, voisins, parking, ascenseur, volupté, fsoumise, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral préservati, pénétratio, jeu, sm, attache, humour,

    ... j’ai repris un air sombre en retirant son boléro noir. Je l’ai accroché à l’antenne radio de la berline, comme une bannière de pillard sur un champ de bataille et je l’ai laissé se battre avec ma veste. En lui tenant à nouveau les mains, j’ai déboutonné un à un les petits boutons de nacre noire qui fermaient son écrin de luxe rouge. J’ai glissé ma main libre sur sa peau, sous ses seins et je les ai libérés du chemisier en l’ouvrant largement, dégageant presque totalement son buste et son cou. Puis je me suis plaqué contre elle, la bouche au creux de son épaule et ma main dans la fente de sa robe, sur sa cuisse enveloppée du nylon nacré de ses bas. Elle l’a écartée de son corps, pour que je profite encore plus de la vue du petit bandeau de broderie blanche, tout en haut de sa jambe. Ça la rendait si désirable. Elle a bien fait : je n’ai pas pu m’empêcher de remonter ma main entre ses cuisses, jusqu’à son mont de Vénus rebondi, pour caresser le triangle de soie de son string déjà mouillé. J’ai léché tour à tour ses deux mamelons jaloux de la main qui caressait son pubis. Je lui ai demandé : — Comme ça, ça te plaît ? Elle m’a répondu en déboutonnant ma chemise : — Oui, mais je sentirais mieux tes doigts sans le string. Tu peux aussi y aller plus fort.— D’accord. Alors je t’attache. Comme ça, je te violerai un peu plus. J’ai défait ma cravate et réuni les deux mains qu’elle m’a offertes. Je ne l’ai pas vraiment attachée. J’ai simplement enlacé ses poignets croisés de ce ruban ...
    ... de soie. Je voulais ce symbole de soumission délicat. Seulement pour qu’elle puisse se sentir un peu esclave, un peu Sabine. Ah ! L’enlèvement des Sabines : vous souvenez-vous de cette anecdote historique ? C’est l’enlèvement des épouses et des filles des Sabins par les guerriers de Rome en manque de femmes. Les peintres classiques ont représenté ces femmes nues, ligotées sur des chevaux et les seins érigés vers les yeux de leurs beaux agresseurs. À voir les regards que leur ont donnés les artistes, on ne sait pas si elles étaient affolées de peur ou de désirs intenses sur ces immenses tableaux de viol collectif. Je me demande si ces peintres avaient imaginé qu’un jour ces toiles seraient exposées dans des musées et qu’elles feraient bander en public bon nombre de leurs admirateurs ou fantasmer toutes leurs admiratrices. J’ai assis ma Sabine. Puis je l’ai prise par les épaules pour l’allonger sur le capot en étirant ses bras entravés par-dessus sa tête. Ça a fait resplendir ses seins magnifiques dans son chemisier dégrafé et chiffonné sous son buste, comme le satin rouge d’un coffret à bijoux. J’ai étalé sa robe noire sous ses jambes blanches en l’ouvrant jusqu’à son ventre et j’ai défait son string inutile. J’ai empoigné ses chevilles et j’ai remonté mes mains jusqu’en haut de ses cuisses, en savourant leur lent glissement sur ses bas jusqu’à faire se rejoindre mes pouces dans sa vulve mouillée. Si j’avais encore des doutes, Tina n’en avait plus : son regard chaviré et ses ...
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