1. Un ascenseur nommé désir


    Datte: 01/12/2018, Catégories: fh, inconnu, voisins, parking, ascenseur, volupté, fsoumise, hsoumis, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral préservati, pénétratio, jeu, sm, attache, humour,

    ... les rapports humains. Est-ce sa présence si proche qui a fait ressurgir en moi l’absence de mon ancienne copine ? Sûrement. J’avais l’impression que cet ascenseur s’enfonçait dans les profondeurs de mon blues alors que des parfums de fruits s’élevaient de l’échancrure du chemisier où s’agitaient librement ses deux petits seins ronds. Cela faisait remonter en flash-back le souvenir suave du goût des mamelons de Cindrella. Il était déjà trop tard : je m’étais collé trop près d’elle. — Si je peux vous être agréable… En disant cela, j’ai blotti son sein gauche dans la paume de ma main libre. Est-ce son parfum qui m’avait ôté tout sens de la mesure ? La force de la claque que j’ai reçu en retour, elle, était très mesurable : 11 sur l’échelle de Povtipp-Lagaffe, qui ne comporte malheureusement que dix niveaux de connerie. Je me suis mis à bredouiller : — Je suis désolé, je te… vous demande pardon. Excusez… Comment dire ? Vous… tu… Et flûte !!! Je me suis empêtré dans des explications foireuses d’esseulé, de belle inconnue, de mâle idiot en manque. J’aurais payé cher pour pouvoir rembobiner le film et changer le scénario. Mais rien n’y a fait. Lorsqu’enfin la porte s’est ouverte, elle s’est éloignée en maugréant, égrenant contre moi tous les noms des machos de la Terre. Je n’ai même pas osé sortir de l’ascenseur, de peur de la décevoir encore. Je suis remonté immédiatement. J’ai claqué la porte de mon appartement derrière moi. Je m’en voulais terriblement. Il fallait à tout prix ...
    ... que je trouve le moyen de connaître le nom de cette belle inconnue. Je voulais avoir une chance de gommer ce coup de folie pour pouvoir la draguer. Mais comment ? Je n’oserais pas l’aborder de si tôt. Et encore moins lui demander comment elle s’appelait. Dans cette situation, ça aurait été aussi incongru de ma part que de lui demander son poids ou la profondeur des bonnets de son soutien-gorge. J’ai grincé des dents et des neurones en réfléchissant tout haut : — Mais au fond, ça ne doit pas être bien difficile : l’étiquette sur sa boîte à lettres est sûrement neuve. Le hall d’entrée, vite ! Quelques instants plus tard, devant l’alignement des boîtes aux lettres : — Voyons cela…Eugénie Peurien ? Non. On dirait le nom d’une grand-mère de 80 ans…Nathalie Baigueull ? Non. Trop sage : ça ne va pas avec le chemisier flou qu’elle portait… Ah !Tina. Capitaine Tina Maffamm, même. Eh bien, j’en pince pour une militaire maintenant ? J’ai essayé de l’imaginer en mission : un uniforme kaki ? Non. Plutôt un tailleur strict et un chemisier blanc à col raide, sous lequel un soutif "Cœur Croisé" d’un autre âge devait lui mettre les seins au garde-à-vous. Est-ce qu’elle se faisait un chignon ? Est-ce qu’elle portait un calot et des lunettes en écaille noire ? J’ai re-visionné mentalement tous les clichés du genre "uniformes" et je me suis esclaffé : — Ouah ! La rigolade, dis… Non. Ce n’était pas possible ! Elle était bien plus belle que cela… Et pourtant, il n’y avait pas d’autre étiquette neuve ...
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