Un ascenseur nommé désir - Histoires de Sexe

Un ascenseur nommé désir

... de Rocco avec massages relaxants et stimulation des mamelons incorporés. Elle devait aimer l’effet "Wonderbra" car elle m’a ajusté pour que je la comprime mieux. Mais sinon je crois qu’elle en était assez satisfaite. Ma verge était un peu trop haute pour la position étirée de Tina : elle lui arrivait au-dessus du visage. Ce qui fait qu’elle la contemplait par-dessous. Elle s’en est amusée : elle l’a pressée à deux mains en louchant sur mon gland et par moment elle la posait sur son front en faisant glisser sa main sur toute sa longueur. J’ai pris soudain conscience que sa position n’était pas confortable pour son cou. J’ai alors posé sa tête dans ma main droite pour la soulager et pour qu’elle puisse continuer à m’allumer confortablement. J’avais l’impression de porter une pelote de laine soyeuse, animée des roulements délicats de sa nuque. Elle a écarté ma queue pour me regarder et elle m’a dit : — Ah ! C’est mieux. C’est même pas mal du tout comme ça. Je me sens à l’aise. Merci ! Ça te dit dans ma bouche ?— Tu as déjà croisé un garçon qui t’ait refusé ça ? Bien sûr que ça me fait envie ! Mais tu n’as pas peur que je te fasse mal dans cette position ?— Il faut essayer. Elle a renversé sa tête au maximum pour bien allonger son cou et elle a posé mon gland sur ses lèvres entrouvertes. Puis elle m’a attrapé par les fesses et elle m’a enfoncé dans sa bouche. J’ai cru que je n’allais pas pouvoir me retenir tellement c’était excitant. Mais elle a fait ça de façon si naturelle que ...

... je me suis laissé aller à son jeu. J’ai même posé les doigts de ma main libre sur sa gorge pour l’accompagner, pour qu’elle ait aussi un peu l’impression que c’était moi qui la prenais. Mais c’était bien elle qui imprimait à mon bassin les mouvements amples de va-et-vient qui me faisaient glisser si délicieusement entre ses lèvres. Et c’était encore elle qui se régalait de moi, en grognant les yeux fermés. Je percevais distinctement de petits battements dans son cou : c’est son sang qui tapait dans ses carotides. J’ai imaginé un instant que ce fluide vital refroidissait son cerveau en ébullition. Cette image impossible, c’était pour ne pas m’avouer que j’étais fasciné par son cou : je n’ai pas pu m’empêcher de poser seulement le pouce et le majeur sur les deux traces qui palpitaient de part et d’autre de sa gorge. Je les ai effleurées lentement, comme pour les masser et comme si les deux doigts de cette main gauche avaient le pouvoir de faire circuler les désirs de Tina entre son corps et sa tête posée dans ma main droite. J’ai alors enveloppé complètement son cou pour sentir sa chaleur excitante diffuser dans toute la peau de mes mains. Même sans bouger, j’avais l’impression que je la caressais : mes doigts étaient parcourus de frôlements délicieux. Ce contact intime m’a donné la sensation terrible que Tina m’avalait tout entier à chaque fois qu’elle m’attirait vers elle. À tel point que j’ai cru sentir sous ma paume mon pénis qui glissait, enserré dans sa gorge. En réalité, ...