Première lune
Datte: 08/08/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
copains,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
init,
inithf,
... m’approchai doucement. Mon nez s’immergea dans son intimité – et en fut immédiatement imprégné. Déferlement liquide. Le nez dans son sexe, ma bouche se retrouva au contact de son petit trou, que j’embrassai avec passion. — Hé ! Je reculai un peu. — Quoi ? Tu n’aimes pas ?— Si ! Je ne m’y attendais pas, c’est tout… Continue… Je repris ma caresse. Mes lèvres avides s’amourachèrent. Audacieuse, ma langue lécha et virevolta. D’une vive écume j’inondais son cul ! Mon visage extatique aurait désormais, imprimé dans sa chair, l’odeur piquante de la croupe de Sandra ouverte sous ma langue comme une rose, creux délicat en désir d’être comblé. Hosanna ! Elle se cambrait… écartait instinctivement les fesses… se tortillait… Et je lui suçais goulûment l’anus, telle une glace à la mûre un soir d’été. Le goût en était fort, poivré, ensorcelant. Il frémit sous ma langue qui, rendue folle par ce violent afflux de nouvelles sensations, voulait en forcer l’entrée. Je m’éloignai de dix centimètres… Scellées à mon visage, les odeurs mêlées de sa mouille, de son cul et des souvenirs de mon foutre me faisaient presque suffoquer. Sa raie dégoulinait de salive – aussi mouillée désormais que sa chatte encore inoccupée… Je glissai une main entre ses fesses… massai un peu son doux orifice… et, sans trop savoir pourquoi, y enfonçai soudain une phalange. Mon audace m’étonnait moi-même. — Hé ! Mais qu’est-ce que tu fais ?— Chut ! Ma Sandra expirait bruyamment. Mon majeur s’enfonçait inexorablement en ...
... elle. Je l’y laissai quelques instants. Son cul était un peu serré, mais merveilleusement accueillant. Je ressortis mon doigt et recommençai avec mon pouce, plus court, mais aussi plus épais. Je le lui enfonçai complètement. Gémissements. À intervalles réguliers, je suçais mon doigt pour assurer à ma partenaire un confort maximal. Sandra n’opposait aucune résistance. Afflux de saveurs contradictoires. Je lui branlai le cul un moment de cette manière – bruits humides, halètements –, avec l’un ou l’autre doigt, parfois deux, m’arrêtant seulement pour la laper sans pudeur, pour m’immerger encore un instant dans sa moiteur infernale et sucrée. Alors seulement, mes lèvres se prirent d’amour pour son sexe. Je délaissai son cul un instant et déposai un baiser entre ses grandes lèvres gorgées du désir qui déposait sa rosée sur la forêt avoisinante. Je donnai un coup de langue sur sa crête frémissante et trempée. Elle couina. Un autre coup de langue. Un autre cri. Ma langue se faisait tantôt large et souple, léchant la chatte intégralement, tantôt dure et pointue, sur le clitoris. Sandra hululait sous mes caresses. Tandis que je la léchais, buvant l’élixir à sa source, mon pouce revint prendre sa place dans son fondement. Soupir d’aise. Sans doute aurais-je pu la faire jouir ainsi, mais j’avais autre chose en tête. Je me redressai et vint m’accroupir à sa hauteur. — Tu as bien dit que nous avions tout notre temps ? lui susurrai-je à l’oreille.— Euh, oui… Pourquoi ?— J’ai envie de tes ...