Première lune
Datte: 08/08/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
copains,
odeurs,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
init,
inithf,
... pointaient. Quant à moi, je ne débandais pas. — Caresse-les. Ils étaient chauds, doux et moelleux. Penché sur elle, je jouai avec les tétons, les roulant entre les doigts, les effleurant de la pulpe du pouce ou de l’index ; je pelotai tantôt doucement, tantôt frénétiquement. Sandra gémissait d’aise. — Lèche-les. J’enveloppai ses tétons durcis entre mes lèvres, l’un après l’autre, leur accordant les faveurs de mes baisers. — Hum, gémit-elle… Tu te débrouilles plutôt bien pour un puceau… M’entendre traiter de puceau m’excitait. La situation l’excitait aussi, manifestement : quelque part là-dessous, de petits bruits humides se firent entendre, aussitôt suivis d’étranges effluves, à la fois très forts, presque piquants – et très doux. J’en avais déjà senti l’écho ténu, des années auparavant, lorsque j’avais reniflé en cachette les petites culottes d’une copine de lycée – la sage Agathe –, dénichées dans une panière de linge sale. Mais cette fois, c’était différent, infiniment plus enivrant. D’un coup d’œil, je vérifiai ce que j’avais déjà deviné : serrée entre ses cuisses, la main de Sandra bougeait. Vision édénique ! Je voulais voir ça de plus près. Je dirigeai alors mes baisers plus au sud. Je m’attardai à nouveau sur son ventre moelleux, mais mon impatience l’emporta – ma langue vint à la rencontre de ses doigts en mouvement. Je les lapai timidement. Sandra m’ordonna de continuer. — Tu m’excites, mon grand puceau ! Je répondis par un grognement. Ses doigts étaient trempés, ...
... pleins de cette essence dont je découvrais maintenant le goût. Je les léchais activement comme j’aurais léché son sexe. Elle se cambrait, se tortillait, lâchait de petits cris. J’eus l’impression qu’elle allait jouir – qu’en savais-je, du haut de mon inexpérience ? –, mais elle me souleva le menton et me demanda de revenir m’asseoir. J’obtempérai. Elle se pencha vers moi. Nos langues s’entrelacèrent à nouveau – léger arrière-goût de sperme ; exquise saveur de sa chatte recueillie sur ses doigts. Au même moment, sa main guidait la mienne vers sa petite culotte. Sous la dentelle je pouvais sentir ses chairs gonflées et trempées. Je la caressai non sans maladresse sans doute, mais avec une douceur, une fougue et un manque d’assurance qui apparemment n’étaient pas pour lui déplaire. Très vite, je contournai la dentelle pour plonger au cœur du maelström – à l’origine du monde. Mon Dieu, Sandra était vraiment toute mouillée ! Et, mon Dieu, je n’y étais pas pour rien ! Elle gémit : — Lèche-moi… Elle s’allongea sur le sofa. Je m’installai à genoux et remontai ses cuisses au maximum. Devant moi s’ouvrait la merveille de la création. À l’orée d’un bois joli de poils drus et noirs, la vulve de Sandra s’abandonnait à ma convoitise. Ivre d’excitation, je la contemplai quelques instants. Entre ses grandes lèvres brun-rose, qui avaient l’air enflées, tout n’était que chairs humides, muqueuses délectables où je brûlais de me réfugier tout entier. Un peu plus bas se nichait un autre pli dont je ...