Vingt ans après
Datte: 02/12/2018,
Catégories:
fh,
grp,
hbi,
extraoffre,
inconnu,
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
entreseins,
Oral
69,
double,
Partouze / Groupe
... chatte. Il attend, il m’agace. Il fait semblant de vouloir me pénétrer lentement, mais il rentre d’un seul coup. Le paradis, quoi ! Il me défonce, entre et sort entièrement à chaque fois. Des mains me malaxent les seins, la bite du mari bute contre ma joue. Purée, ce que c’est bon. Je le hurle. Maintenant que je retrouve ce que j’aime le plus dans la vie, je prends mon pied de plus en plus vite. Et ça vient, un pied super. Marc est accroupi à côté, sa langue dans ma bouche. J’ai juste le temps de lui faire savoir que je l’aime autant que toujours. Ousmane est près de décharger. Pas de ça, Lisette ! Je serre les jambes, l’arrête. Le couple qui a été si serviable mérite bien quelque chose. Ousmane aussi. Je me lève. Une vingtaine de mains me caressent, m’explorent de tous les côtés. J’aime ça, l’excitation me regagne. Je remets la queue d’Ousmane entre les seins de la blonde. Il n’en peut plus le pauvre, il recommence ses va-et-vient. Histoire d’encourager ma voisine, je me penche sur son mari et lui taille une petite pipe. La femme, elle, avale le gros dard du Sénégalais, jusqu’à la garde, et ça ne dure pas longtemps avant qu’elle avale et que le sperme commence à couler du coin de sa bouche. Ousmane n’arrête pas de sitôt. Quand il se retire enfin, il est tout aussi dur qu’avant, le bougre, comme Marc à son âge. Le reste est plutôt confus dans ma tête, c’est pourquoi je laisserai Marc raconter ce qui s’est passé: Je dois dire que je commençais à m’impatienter. Ma trique me ...
... faisait un mal de chien, mes couilles aussi. Je ne savais pas combien je pouvais résister à l’agacerie que me servait ma petite chérie. Ce n’est plus nous trois, mais une grappe humaine qui suivait Annette. Voyant toutes ces mains qui se promenaient sur son corps, je savais qu’elle serait de plus en plus excitée. D’ailleurs maintenant nous étions tous les trois à être caressés, palpés, branlés de tous les côtés. Annette nous a conduits tout droit dans l’allée centrale, pour s’arrêter devant le grand roux dont le braque maintenant violacé battait la mesure avec son pouls. Ce sourire qu’il lui a fait ! Elle lui a roulé une pelle. «Tu vas aimer ça», lui a-t-elle fait. Puis elle a demandé à la grappe humaine de s’écarter pour mieux voir. Quand le vide s’est fait, elle a mis debout le grand roux. Elle adore les hommes plus grands qu’elles. Elle a levé la jambe lentement, caressant son pénis de sa cuisse, puis elle s’est tournée vers moi: «Viens m’aider». Je savais qu’elle était loin d’avoir fini avec le Sénégalais. Nous l’avons pris en sandwich entre nous, pour commencer. Collé contre lui par derrière, le lui caressais le torse pendant que mon amie le suçait. Il a été bientôt tout à fait raide, le dard à la verticale. Je suis passé devant et appuyé ma bite contre la sienne, pendant qu’Annette, accroupie derrière, lui léchait les fesses et la raie. Le roux, derrière elle, lui caressait les seins, sa queue frottant le dos d’Annette. Un gros soupir d’Ousmane m’a fait savoir qu’Annette ...