1. Vacances insolites


    Datte: 02/12/2018, Catégories: fhh, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral pénétratio,

    La maison que j’avais louée pour cette semaine était à l’entrée d’un village fleuri. Celle qui était à côté était occupée par une femme de quarante-six ans et sa fille de vingt-huit ans. Toutes deux vivaient seules et un peu en marge de la vie locale. En effet, à mon arrivée, la veille, lorsque j’avais demandé mon chemin, on les avait qualifiées de nymphomanes. En les croisant ce jour-là, j’avais eu droit à un sourire enjôleur de la part de la mère, sortie pendre du linge dans le jardin. Je m’étais retiré seul dans cette maisonnette afin de me ressourcer. J’avais de la lecture et je comptais visiter les environs, mais la présence de ces deux femmes atypiques excita mon imagination. Je reconsidérais alors un peu différemment ma retraite, estimant que, n’étant pas connu dans la région, je n’étais pas obligé d’adopter l’attitude réprobatrice des autochtones. J’avais envie de me laisser entraîner dans leur jeu, de les laisser prendre les initiatives. Pour me montrer docile à leur point de vue, je répondis un «bonjour Madame» chaleureux au salut de la mère, lorsque je quittais la maison pour faire quelques courses. — Vous êtes en vacances ? me demanda-t-elle en s’approchant.— Oui, pour la semaine, lui répondis-je avec le sourire.— Vous allez vous plaire ici, surtout avec ce beau temps ! dit-t-elle en me regardant droit dans les yeux. Vous êtes seul ? Je n’ai pas vu d’autres personnes avec vous, questionna-t-elle.— Je suis venu me ressourcer quelques jours ; je compte visiter les ...
    ... environs et surtout me reposer.— Venez donc prendre l’apéritif tout à l’heure, pour faire connaissance ! me proposa-t-elle d’un air incitateur.— Ce n’est pas de refus, lui répondis-je, intéressé. Il était dix heures et je fis mes courses tranquillement et, de retour vers midi, je me rendis chez les voisines. Mère et fille étaient présentes et m’accueillirent de manière avenante. Le sourire était de mise. Averti sur les intentions probables des deux femmes, j’avais mis de côté la réserve qu’imposent les relations habituelles et n’hésitais pas à contempler sans la moindre gène les silhouettes de mes voisines, qui en semblaient ravies. La mère comme la fille était assez mince , de taille moyenne, et de morphologie semblable à celle d’adolescentes. Leur visage était agréable sous des traits qui exprimaient leur tempérament voué à l’érotisme. Une table basse et quatre fauteuils de même hauteur étaient disposés sur la terrasse et je fus invité à m’y installer. Marie, la mère, disposa les verres sur la table et à cette occasion me fit découvrir les charmes de sa gorge. Elle était vêtue d’un chemisier rouge et d’une jupe noire qui lui arrivait au-dessus des genoux. En se baissant pour servir, le chemisier, qui n’était pas boutonné jusqu’en haut, s’entrouvrit, m’ouvrant un panorama aphrodisiaque sur un soutien-gorge mal ajusté sur des seins en forme de poire dont les tétons était à moitié cachés. Heureuse de l’émoi qu ’elle avait provoquée, Marie eut un large sourire et alla s’asseoir ...
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