1. Vacances insolites


    Datte: 02/12/2018, Catégories: fhh, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral pénétratio,

    ... adroits. La laissant se rajuster, je rejoignis alors Marie qui avait assisté à la scène. Accroupi auprès d’elle, je plongeais la main dans le décolleté de son chemisier auquel je retirais quelques boutons de l’autre main, et dévoilais ses seins dont les petites aréoles roses entouraient des tétons fins et pointus. Par petites pressions, je les titillais pendant que, sensible, Marie s’agitait dans tous les sens. Avant de la quitter, je laissais une main descendre le long de son ventre jusqu’à son pubis que je caressais au travers de l’étoffe, avant de trousser la jupe et écarter sa petite culotte rouge encore tâchée, afin de lui témoigner de ma langue vorace les plus douces congratulations. Après les quelques sursauts attendus témoignant d’un orgasme effectif, je laissais Marie et Fanny à leurs songes dans l’attente de nouvelles aventures. Le soir, Fanny vint me chercher, toute fraîche, dans le même short que celui qu’elle portait à midi. Elle était jolie et désirable. Alors qu’elle s’apprêtait à franchir le seuil de la porte d’entrée en me demandant de la suivre, voir son beau petit cul tout rond se dandiner devant moi me donna une poussée libidinale que je n’eus même pas l’idée de retenir. Je l’attrapai aux hanches et vins me plaquer contre ses fesses. Je bandais. Je ne pus empêcher quelques mouvements de bassin alors que ma bite coulissait dans la raie de ses fesses. Je dirigeai Fanny vers la fenêtre ouverte et l’obligeai à prendre appui en la penchant. Elle se laissa ...
    ... faire, je lui retirai le short, descendis mon bermuda et mon slip, et lui enfournai directement ma bite dans son vagin déjà détrempé. Tout en lui assénant de profonds coups de boutoir et en lui pelotant les seins sous son tee-shirt, je lui susurrais à l’oreille : — Tu m’as bien branlé tout à l’heure, tu es une bonne petite branleuse. Tu es bonne à baiser aussi, ma bite et mes couilles sont aux anges ! En entendant ces paroles, Fanny se mit à grommeler des mots qui n’étaient que des gémissements de plaisir. — Profites-en, ma belle, laisse venir. Et bientôt je sentis son vagin se contracter en spasmes autour de ma verge. Fanny jouissait. Quant à moi, je me contentais de la percuter en veillant à me retenir pour la suite. Je profitais que Fanny se relâche pour retirer mon pénis de son vagin. Doucement je lui remis son short et me rhabillai. — On peut y aller, maintenant, lui dis-je. Elle m’emmena dans une ancienne grange au fond du jardin. Il faisait encore chaud et le ciel était toujours clair. Marie était là, vêtue d’une robe boutonnée de haut en bas et qui lui arrivait aux mollets. Sur une espèce d’établi, se trouvait des cordes et des lanières de cuir. — Maman aime bien être attachée…me dit tout bas Fanny. Je contournais Marie ; mes doigts frôlaient ses épaules étroites, parcouraient ses fins bras, s’attardaient sur ses hanches, remontaient effleurer son ventre. Étant derrière elle, je lui saisissais un poignet que j’entourais d’une cordelette de chanvre. Dans le hangar, deux ...