1. Vacances insolites


    Datte: 02/12/2018, Catégories: fhh, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, intermast, Oral pénétratio,

    ... en face de moi. Fanny, la fille, qui était en short et en tee-shirt moulant, apporta les amuse-gueule et vint s’asseoir à son tour. Ses petits seins se dessinaient sous le fin tissu et leurs pointes avaient du mal à se discipliner, à rester sages. Le short en mousse épousait tant les formes de la jeune femme que j’eus du mal à contenir un début d’érection lorsque mes yeux se posèrent sur le bas de son ventre. Une partie du tissu s’insérait, formant un sillon vertical qui me fit penser qu’elle ne portait pas de culotte. Nous portâmes un toast en l’honneur de notre rencontre et à mon séjour dans la contrée, et chacun entreprit de se faire connaître. Très vite, Marie s’était montrée aguicheuse, car elle s’était placée de telle sorte que de ma place j’aie une vue directe sur ses jambes, qu’elle avait délibérément entrouvertes avec un air coquin. Avec une mine approbatrice, je plongeai mon regard dans son entrejambe ainsi offert, l’œil attiré par une fine culotte rouge translucide qui eut pour effet d’augmenter mon érection. Mon visage illuminé induit immédiatement l’accroissement de l’ouverture des cuisses de ma voisine qui ne se sentait nullement gênée par la présence de sa fille. À présent, je pouvais distinguer quelques détails tels que la forme estompée de sa fente avec, au-dessus, une petite masse sombre qui correspondait aux poils pubiens. Ravi de son initiative, je lui souris silencieusement. Fanny, qui avait assisté à ce petit jeu, regardait alternativement l’attitude de ...
    ... sa mère et mes réactions, et semblait à la fois amusée et intéressée. Continuant son cinéma, Marie s’était affaissée dans son fauteuil, obligeant sa jupe à remonter jusqu’à la hauteur de sa culotte. Ses cuisses étaient à présent ouvertes sans pudeur et elle ondulait lascivement avec un plaisir manifeste de s’exhiber. Je devenais spectateur d’une sorte de mise en scène érotique absolument grisante. Le pied gauche posé sur le fauteuil, l’autre restant à terre, Marie me montrait sa culotte qui m’apparaissait sous toutes les coutures, épousant la forme de ses grandes lèvres, laissant voir en son centre une auréole d’humidité. Puis, habilement, Marie se trémoussait pour faire remonter encore sa jupe de sorte qu’elle puisse faire glisser le tissu de sa culotte de côté et dégager sa vulve. Alors apparurent au grand jour les petites lèvres délicatement écartées. Ma queue était à présent tendue à l’extrême et formait un bourrelet bien visible à hauteur de la braguette de mon bermuda. Ayant constaté mon état d’excitation, Fanny avait rapproché son fauteuil du mien et, la tête entre les mains, regardait ostensiblement l’excroissance de mon bermuda. Après quelques hésitations, elle osa poser un doigt dessus, ce qui me fit tressaillir ; elle le retira, revint me taquiner la hampe au-dessus du tissu, effectua de légers pincements de mon gland, tritura mes couilles du bout des doigts. Ces attouchements de mes parties génitales à travers mes vêtements me rendaient sensible, et j’éprouvais le ...