1. COLLECTION COCU. L’arrêt de bus (1/1)


    Datte: 03/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... soit mon anus avaient l’honneur de le recevoir, quand nous nous réveillions, c’est encore lui qui m’avait appris à le sucer pour le faire se tendre étant une oie blanche, ignorante de toutes ces pratiques sexuelles. • Tournez à droite, c’est parfait, nous venons de traverser le périphérique, voyez, ce sont les boulevards des Maréchaux, dans deux minutes vous serez chez vous. • Je vous conduis jusque devant votre immeuble. • Inutile, la pluie a fini de tomber, je vais rentrer à pied. Nous arrivons devant un hôtel possédant un garage souterrain, il fait tourner la voiture et nous descendons dans un parking sur deux niveaux. • Excusez, j’aurais dû vous laisser avant de descendre me garer. • Ce n’est pas grave, nous allons remonter par l’ascenseur et vous me laisserez au niveau 0. La voiture garée, nous prenons l’ascenseur. • Mince, depuis que je suis ici, j’ai tellement l’habitude de monter directement au troisième que j’ai instinctivement appuyé sur ce numéro. J’éclate de rire. • Je vais redescendre, ce n’est pas si loin. La cabine s’arrête, les portes s’ouvrent au moment de descendre le jeune homme beau comme un dieu me prend la main et me tire vers le couloir. • Venez boire un café, j’en fais monter chaque matin dans un thermos, nous parlerons du pays. • Ce n’est pas raisonnable, si on nous voyait ! • La porte 33, la 35, la 34 de l’autre côté toutes sont fermés, la 36 nous sommes arrivés, j’ouvre la porte, vous êtes à l’abri des regards, asseyez-vous sur le lit, la place ...
    ... est exiguë, mais je cherche un logement, je suis dans cet hôtel pour quelques jours seulement. Maintenant que j’ai été embauché, je vais pouvoir trouver un logement stable. J’aime le quartier, je vais essayer de trouver dans le coin. Il prépare le café, je lisse ma robe, ne sachant pas quelle posture prendre, je suis folle d’être entrée dans cette chambre même si le manque de sexe depuis plus de huit jours, travaille mon intimité. Nous buvons pour cela il s’est assis à mes côtés, il me prend la tasse qu’il pose sur le dessus-de-lit de l’autre côté de nous. • Tu permets, je voudrais voir quelque chose. • Ça dépend, attention, je suis mariée, si tu essayes quelque chose, je vais crier. • Alors, enlève tes lunettes. J’aurais dû me méfier du soudain tutoiement, mais pourquoi garder mes lunettes qui ne me servent à rien, tant qu’il ne demande pas d’enlever ma robe ou mon chemisier, pire ma petite culotte. • Défait ton chignon ! • Adrien, tu vas trop loin. • Défait ton chignon ! Je m’exécute devenant de plus en plus folle, j’ébouriffe mes cheveux qui tombent sur mes épaules. • Tu as commencé à enseigner au lycée de Beaune comme professeur de mathématiques, tu t’appelle Geneviève, dans tes débuts, tu étais blonde. Tout ce qu’il dit est exact, c’est la période de mon mariage et comme j’étais à la mode du moment, je me décolorais, maintenant, j’assume ma couleur brune. • Souviens-toi, Adrien, le jeune garçon boutonneux légèrement obèse, tu m’as donné des cours de math pour me faire ...