1. COLLECTION COCU. L’arrêt de bus (1/1)


    Datte: 03/12/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... progresser, grâce à toi, j’ai eu mon bac avec mention « très bien » ce qui m’a permis de faire des études d’ingénieur et de trouver du travail aujourd’hui. Tu es toujours aussi belle, que cette année-là, j’étais amoureux de toi. En me disant cela, sa main s’approche de ma figure pour me brûler comme pour ma cuisse dans la voiture, quand ses lèvres s’approchent de moi, je devrais me sauver, mais c’est moi qui réduis la distance, son baiser est doux et suave et entraîne une excitation jamais ressentie au niveau de mon sexe. Il insinue sa main entre mes cuisses qui s’écartent sans que je les commande, ses doigts touchent ma petite culotte, il doit sentir que je mouille, je deviens comme une folle quand nous arrachons nos vêtements. Il est incroyable que la verge que je dégage vienne tout naturellement prendre sa place dans ma bouche et que mes mains attrapent sa tige pour la masturber, pour finir par lui avaler les boules. Je sens qu’il va décharger ce qui ne serait pas pour me déplaire, mais je la veux en moi, je veux qu’elle me prenne, quelle face de moi la femme adultère que je suis en train de devenir. Retrouverais-je un baiseur de son acabit, aurais-je le courage de me donner à un autre, comme je souhaite le faire avec lui, alors ces boules que je tiens à leurs bases, quand je les tourne à le faire hurler, sentant la pression retomber. • Baise-moi. Comment ai-je pu dire ces deux mots qui lui permettent de mettre à exécution ce que j’attends, il me couche et s’approche, sa ...
    ... verge pénètre en moi, lentement, très lentement, non moins vite, j’ai dit très lentement, millimètre par millimètre. Oui, c’est bien bel inconnu, encore quelques millimètres et tes couilles vont toucher mon anus remplissant intégralement mon vagin. Je me sens rempli, je me sens femme, tout cela à cause de la pluie et que pour une fois, j’attendais mon bus, à quoi tient la fidélité, à quelques trombes d’eau et à un jeune garçon perdu dans Paris. Un jeune garçon qui fait cocu Alain, me faisant jouir après quelques coups bien portés avec sa bite, finissant par m’apporter l’orgasme le plus dévastateur que mon corps n’ait ressenti. • Quelle heure est-il ? • 19 heures. • Je file, mon mari va être rentré et c’est la première fois depuis notre mariage que le repas ne sera pas servi quand il arrivera. • Une femme infidèle trouve toujours un bon prétexte, tu n’échapperas pas à la règle. Je suis prête en moins de cinq minutes, quand je marche, je sens le sperme de mon amant couler le long de mes cuisses, c’est divin. • Bonsoir chérie, tu es en retard. • J’ai pris le métro à cause de la pluie et nous avons été bloqués dans le tunnel entre deux stations, un mari cocu, c’est jeté sous la rame qui nous précédait, regarde à la télé, ils vont peut-être en parler. • Je te crois chérie, j’ai déjà mis le couvert, c’est la première fois depuis que je t’ai épousé. Je sais, j’attendais le bus, et je parle de métro, regardez la carte de la RATP, il est possible à Mairie de Montrouge de prendre le bus ...