Petit diable !
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
Collègues / Travail
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
pénétratio,
... caresse et son esprit troublé ne fit qu’un tour. Soudain prise d’une irrésistible envie de l’aguicher, elle s’amusa à décroiser ses jambes, puis à les recroiser avec une lenteur mesurée, tout en adressant à son jeune comptable un regard sans équivoque : — Ne vous égarez pas, Antoine. Vous avez du pain sur la planche, aujourd’hui. Mais, comme elle, Antoine avait les idées ailleurs : — Montrez-moi vos seins, Agnès… Depuis que je les ai vus, mercredi dernier, je ne pense plus qu’à ça !— Écoutez, Antoine, revenez à la raison. Ne comptez plus là-dessus… J’ai eu tort de m’exhiber, je l’admets et je le regrette aujourd’hui… J’ai un mari, vous avez votre copine, oubliez tout cela !— J’ai plus d’copine ! Elle s’est tirée la semaine dernière ! s’écria-t-il. Ces mots étranglés, lancés comme un message de détresse, procurèrent à Agnès un bien étrange sentiment où se mêlaient compassion et satisfaction malsaine. — Tout le week-end, je n’ai pensé qu’à vous, à vos jambes, à vos cuisses, à vos seins !— Chut, fit-elle. On pourrait vous entendre ! Elle se leva précipitamment pour aller refermer la porte du bureau. — Vous m’aviez tellement vampé les jours précédents, continua-t-il, que j’en suis devenu fou ! Ces aveux déchirants troublèrent beaucoup Agnès, les beaux yeux noirs du jeune homme firent le reste. Elle se pencha en s’appuyant des deux mains sur le bureau de son employé. Antoine eut un sourire béat en apercevant tout à coup ces deux jolis seins pointer vers le bas et se balancer ...
... doucement. — Soyez raisonnable, lui dit-elle d’une voix soudain très douce (elle-même était très troublée). Je ne peux tout de même pas m’exhiber devant vous tout le temps.— Comme ils sont beaux, s’exclama Antoine qui n’écoutait pas et laissait monter son excitation ! Il tendit la main vers le décolleté, mais la directrice-adjointe se releva brusquement. — Non, non, non ! Vous allez faire des bêtises, Antoine. Vous n’êtes pas raisonnable. Je ne vous les montrerai plus ! Puis elle retourna s’asseoir à son bureau et fit semblant de se replonger dans son travail. Mais le cœur n’y était pas, son esprit perturbé était ailleurs. Tout à coup elle revit les images du film érotique de samedi. Ces images en amenèrent immédiatement d’autres et elle repensa au fantasme qu’elle avait eu au même moment. Elle lâcha subitement la souris de son ordinateur, soudain convaincue de sentir les doigts d’Antoine fouiller son intimité. Cela lui procura une douce chaleur dans tout le bas-ventre et elle sentit bientôt monter en elle un désir de plus en plus incontrôlable. Comme possédée, elle se leva précipitamment et dut sortir du bureau au plus vite, sans quoi elle se serait sentie capable de faire n’importe quoi ! Bouillante de désir, elle fila aux toilettes, s’y enferma, releva sa robe et glissa sa main sous sa culotte. Jamais de sa vie elle n’avait éprouvé un besoin aussi violent de se toucher. Cela lui était bien arrivé de temps à autre, surtout quand elle était ado, mais là son corps demandait bien ...