1. Perdre pied


    Datte: 04/12/2018, Catégories: ff, fhh, 2couples, couplus, cocus, vacances, bain, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession,

    ... concurrente pour un espace vital qu’il lui faut conquérir. La pression est forte mais délicieuse. La femelle allongée sur moi gémit de se faire posséder ainsi, mais ce ne doit pas être la première fois. Elle a dit "libertine et coquine" ; moi, j’ajouterais "perverse" à sa façon de se tortiller sur nos deux bites, mais aussi "salope" dans sa façon de gronder alors que son mari lui laboure le cul. "Attendrissante" aussi alors qu’elle cache son visage contre mon cou, me couvrant de doux baisers entrecoupés de petits cris de plaisir. Et pendant tout ce temps Martine regarde. Elle ne peut qu’être troublée par ce qu’elle voit pour la première fois, comme moi je le suis par cette femme sur moi et que nous possédons à deux. Elle tend sa main. Oui, je la vois nettement tendre la main vers Marc, lui toucher le visage, l’épaule, le torse, caresser vraiment le torse de l’homme qui se redresse pour mieux se rendre accessible. Se redressant, il libère la vue de sa queue qui encule, que Martine suit du regard, et même va toucher ; enfin, c’est ce que je devine. Et puis alors que cette vision m’excite au point que moi aussi je me défoule dans la femelle, je la vois passer derrière, se ...
    ... pencher et disparaître. — Oui. C’est bon, continue. Que fait-elle pour que Marc gémisse et l’encourage ? — Oh ! Là, c’est moi car je sens qu’une main caresse mes couilles. C’est donc cela : ma femme nous caresse tous les deux de cette façon. Quelle coquine ! De longues secondes nous sommes ses jouets sexuels. Elle joue avec nos bourses, les flattant, les pressant, ajoutant cette touche impensable au plaisir de posséder en sandwich cette femelle si désirable. Cette perverse de Léa doit ressentir cette excitation supplémentaire, et c’est elle maintenant qui se déchaîne sur nous. Sa croupe est une vague, poussant une bite, attirant l’autre, et submergeant nos mandrins pour mieux les découvrir. Martine revient. La femelle se déchaîne si fort qu’elle ne pouvait plus nous caresser. Elle me regarde, et je ne peux que lui répondre d’un sourire vite déformé par le plaisir. Elle se penche vers moi : — Et moi, je pourrai être coquine après ? Ai-je bien entendu ? En tout cas, j’entends Léa qui se redresse l’espace d’un instant pour lui répondre : — Tu verras : la première fois, c’est divin… Coquine. Première fois. Divin. Si c’est ce que je pense, alors… ohhhhhhhhhhh, je jouis ! — Mon amour… 
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