1. Perdre pied


    Datte: 04/12/2018, Catégories: ff, fhh, 2couples, couplus, cocus, vacances, bain, amour, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession,

    ... voyons, nous sommes entre nous ; n’est-ce pas, Marc ? À moins que cela ne dérange votre amie.— Mais non, Martine, faites comme vous avez envie. Encore Léa ! Mon épouse me regarde, puis Léa, enfin Marc et se décide. Elle s’éloigne de la table, s’approche de la piscine, fait glisser sa robe pour apparaître dans un petit ensemble de lingerie d’une blancheur immaculée qui exalte sa peau dorée. Elle nous tourne le dos pour l’enlever, dans une sorte de pudeur qui, si elle était objective, ne devrait pas être. Elle va plonger mais soudain un « Attention ! » lancé par Marc nous fait tous sursauter. Nous le regardons. — Ce n’est pas très profond, ajoute-t-il. Moins de deux mètres.— Merci. Et Martine plonge. Comme toujours c’est parfait, et on dirait que l’eau s’est ouverte pour la laisser passer. On la voit progresser sans effort, juste par cette poussée primordiale, et rejaillir de l’autre côté. Elle ruisselle et d’une main repousse ses cheveux tout en les lissant vers l’arrière. — Ça fait du bien ! Elle est très bonne, presque trop chaude. Chéri, tu devrais apprécier, viens. Sans réfléchir je propose : — Marc, allez-y ; Léa va me tenir compagnie. On pourrait penser qu’en refusant j’ai une idée derrière la tête. C’est vrai, mais pas celle que certains d’entre vous pourraient imaginer. Non, je sais nager – enfin, je me débrouille juste ce qu’il faut pour faire illusion – mais je ne sais pas plonger. Et je me vois mal, après le plongeon de ma femme, aller la rejoindre en ...
    ... descendant l’échelle. La honte ! — Vraiment, vous ne voulez pas ? Cela ne vous dérange pas ?— Pas du tout ; je vous rejoindrai plus tard. Il se déshabille rapidement et plonge, lui aussi sans une gerbe d’éclaboussures. — C’est écœurant ! me dit Léa.— Quoi ?— Oui, écœurant de les voir plonger comme cela et nager comme des poissons. Moi, je fais des gros "plouf". Je la regarde et ris de bon cœur. Je me sens moins seul, d’autant qu’il ne me serait pas venu à l’idée qu’une femme de son âge et avec sa profession soit une "handicapée" des activités aquatiques. — Pour ne rien vous cacher, moi aussi. Elle rit aussi. — Mais ce n’est pas une raison pour ne pas profiter du soleil. Et dans la foulée elle se déshabille. C’est vite fait, d’autant qu’elle ne portait rien sous son chemisier et son short. Sa vision me confirme ma première impression : blonde plantureuse, quoique pour le "blonde", l’absence de duvet vers son minou ne me permet pas de conclure sur sa couleur naturelle. Pour le "plantureuse", c’est plus que confirmé. Sa poitrine est généreuse – je dirais deux fois celle de Martine dont les seins ne sont pas ridicules – mais cependant manifestement ferme car peu concernée par la gravité. Les hanches bien rondes, les fesses elles aussi généreuses, et voici une femme bien en chair, mais sans bourrelets ou ventre disgracieux. — C’est un peu gênant… dit-elle alors qu’elle me surprend en pleine observation.— Excusez-moi, mais vous êtes très belle.— Merci. Votre femme n’est pas mal du tout. ...
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