Perdre pied
Datte: 04/12/2018,
Catégories:
ff,
fhh,
2couples,
couplus,
cocus,
vacances,
bain,
amour,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
confession,
... de recéder la parole à Paul, véritable héros, avec sa femme, de cet exemple pour tous. Lorsque cet homme, Paul, s’est présenté dans mon magasin, je l’ai traité comme n’importe quel client. Mettre à disposition mon jacuzzi à des acheteurs potentiels fait partie de ma technique de vente. Ce que je ne dis pas – mais un panneau l’indique – c’est que le lieu est sous surveillance électronique, et que la caméra démarre automatiquement dès qu’une présence est signalée. J’en vois des belles, et je reconnais que parfois ce n’est pas désagréable. Vous ne pouvez pas savoir combien de couples, hétéros ou homos, se laissant aller avec cet environnement de bulles et d’eau chaude. Bref c’est ainsi que j’ai découvert que l’épouse de cet homme était Martine. MA Martine, celle que la vie m’avait fait quitter à regret il y a dix années. Je la savais mariée – elle m’avait parlé de l’infidélité de son mari – mais je n’avais jamais vu le cocu. La surprise a été totale. Comme je ne m’y attendais pas, il m’a fallu un moment pour reconnaître que cette femme qu’un homme baisait avec ardeur et qui le lui rendait bien, était cette épouse un peu déboussolée qui se donnait à moi après la fermeture. Bien entendu j’ai parlé de cette coïncidence à Léa. Léa qui, enfin, pouvait mettre un visage et le reste sur mon récit de jeune maître-nageur qui avait séduit une femme mariée bien plus âgée que lui. Et surtout de nos baises dans l’eau, élément qu’elle appréciait autant que moi au point d’en faire un fantasme ...
... qu’un mari stupide ne savait pas satisfaire. Ensuite, tout s’est enchaîné. Surtout, c’est ma Léa chérie, coquine et un tantinet perverse, qui s’est chargée de les amener chez nous. J’avais gardé le souvenir d’une femme qui se donnait avec délice, mais pour qui je n’étais qu’une vengeance, vengeance dont elle appréciait l’originalité aquatique, mais une vengeance passagère. D’accord : sur la vidéo, elle était plus cochonne que dans mon souvenir. D’accord : de la revoir, en plus dans une robe qui la mettait en valeur alors que je ne l’avais connue qu’en maillot ou nue, m’avait troublé. Mais je crois que c’est Léa, saoulée par les récits sur cette époque, qui a fait ce qu’il fallait pour mettre ce petit couple en condition. Quand le mari m’a proposé de rejoindre sa femme à sa place, j’ai tout de suite pensé qu’il avait lui aussi une idée derrière la tête. Mais je n’ai pas voulu forcer en avançant bille en tête. C’est toujours Léa qui s’est dévouée. Martine ne hurle pas lorsque je pose ma main sur son sein ; elle se défile juste. Je la suis et je fais ce qu’il faut pour qu’elle sente mon désir. Alors que je recommence à la caresser, elle me fait des signes de la main, montrant ses yeux et la surface pour me faire comprendre que nos époux sont là-haut. C’est un "non" parce qu’on nous regarde, pas parce qu’elle ne veut pas. À mon tour je lui fais signe de regarder là-haut, justement où je viens de remarquer un mouvement que la surface déforme à mon regard mais pas assez pour ignorer ...