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Elle me pardonnerait
Datte: 08/08/2017, Catégories: fh, inconnu, fépilée, forêt, amour, intermast, Oral pénétratio, fsodo, hgode,
... ce que rien ne puisse me permettre de l’identifier. Soit. Je regrettais seulement de ne pas la voir. Ces réflexions furent bien vite interrompues. Une main m’entraînait. Je me laissai conduire au plus profond d’un bosquet. Les arbres formaient un creux au cœur de la forêt. Ce coin de verdure constituait un berceau accueillant qui abriterait nos ébats. Elle avait disposé une large couverture sur l’herbe qui tapissait le sol. En bas coulait une rivière. Les reflets de la lune sur l’eau faisaient chatoyer quelques pierres mais l’obscurité était telle que je ne voyais pas à un mètre. Peu importe, je n’étais pas venu pour jouir du paysage ou me repaître de la beauté de ma gazelle, mais bien pour dominer ce bel animal, la soumettre à mon sexe. En terme de fourrure, elle avait revêtu une longue robe en dentelle ajourée. Je sentais les mailles larges sous mes doigts. Je partis à la découverte de ma mystérieuse inconnue tel un aveugle ; je parcourus son corps. Je me plaque d’abord derrière elle et l’enserre de mes bras. Je respire son parfum enivrant. Je l’appuie contre un arbre et me lance à la conquête de chaque parcelle de son anatomie. En silence, je laisse courir mes mains sur ses cheveux. Elle penche la tête pour que je puisse embrasser son cou. Je descends et la voilà qui s’abandonne à mes caresses. Cette salope est entièrement nue sous ce mince filet. Ses tétons pointent à travers les mailles de la robe et je ne peux m’empêcher de les agacer. Je sais déjà que je la pincerai ...
... délicatement puis plus fort. Je poursuis mon exploration. Je remonte le long de ses cuisses longues et m’attarde sur des fesses que je découvre bien rondes et fermes. Une croupe faite pour la saillie. Quel gâchis que ce mari qui ne saisit pas sa chance ! Je m’engage à lui infliger tout ce qu’il lui refuse. Je relève sa robe sur sa taille et m’approche du mont sacré. Je caresse d’abord la courbe de ses lèvres lisses. Je savoure la douceur de sa peau rasée de près. Je glisse un doigt dans la fournaise qui brûle déjà. Elle mouille et le liquide coule sur mes doigts. Je porte la main à sa bouche et elle s’empresse de me sucer. Je décèle des talents que je mettrai bientôt à contribution. Mes caresses se font plus insistantes, j’accélère le rythme. Je la frotte désormais énergiquement, enfonçant un doigt puis deux toujours plus profondément. Perchée sur des talons hauts, elle s’accroche à moi. Je la sens moite, chaude, femme offerte. Elle ne veut rien dire, je prends le pari de la faire crier, moi. Je la cale contre le tronc et m’agenouille devant elle. Elle devine mon intention et écarte les jambes. Sans tarder, je colle ma bouche sur son sexe et lape à grands coups de langue généreux son sexe dégoulinant. Je m’insinue au cœur de son petit trou, je tète son clitoris tandis qu’elle tangue en petits mouvements réguliers. Je devine qu’elle va défaillir et ne veux pas déjà lui accorder un tel plaisir. Sans compter que je suis toujours habillé et que mon sexe se révolte, enserré dans ce ...