Les copines d'Adélaïde - Histoires de Sexe

Les copines d'Adélaïde

Résumé de l’épisode précédent : «Une rencontre singulière »Paul – jeune garçon timide, étudiant à Montpellier – est initié aux plaisirs de la soumission par Adélaïde. ________________________________________ Après cette expérience « à la Candide », Adélaïde et moi avions poursuivi notre relation de façon parfaitement conventionnelle. On se réunissait ensemble pour réviser nos cours, tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre, faire les travaux que nous demandaient nos enseignants respectifs, sortir avec des amis. Nous faisions l’amour très souvent, de façon passionnée et sans inhibitions, mais sans que le rapport maître-esclave soit remis au goût du jour, bien que nous abordions le sujet de temps à autre. Un samedi après-midi de printemps, alors que je furetais dans les rayons d’une librairie universitaire, je reçus un SMS sur mon portable : Je lui réponds de suite, les mains tremblantes : Suit un autre message d’Adélaïde : Le soir arrive, je sonne chez Adélaïde. Elle m’ouvre la porte de l’immeuble par l’interphone. Je rentre chez elle, sa porte est ouverte. Adélaïde est assise sur le canapé. — Referme la porte derrière toi. Je referme la porte et je m’avance vers Adélaïde pour l’embrasser. Elle m’arrête d’un geste de la main. — Tsst ! Tsst ! fait-elle. Déshabille-toi entièrement et pose tes habits sur la chaise là-bas. En silence. Je me déshabille entièrement et me retrouve nu devant elle, déjà en érection, car impatient des humiliations qui m’attendent. Elle me commande alors ...

... de me mettre à genoux devant elle et de lui embrasser les pieds. Je lui embrasse dévotement les pieds, puis j’entreprends de les lécher. Elle me laisse faire en silence, me tendant son pied droit, puis son pied gauche. — Va me chercher une bière, m’ordonne-t-elle d’un ton froid.— À vos ordres, Maîtresse. Je pars à quatre pattes vers le frigo chercher la bière d’Adélaïde, puis je reviens debout. N’ayant pas oublié les bonnes manières qu’elle m’a inculquées lors de la première séance, je m’agenouille devant elle et lui tends sa boisson. Lorsqu’elle la prend, je me prosterne, embrasse ses pieds en la remerciant humblement. — Couche-toi devant moi, sur le dos. Repose-pied. Tu fermes les yeux et tu ne parles pas.— Oui, Maîtresse. Elle pose ses pieds à plat sur mon ventre. Je l’entends boire sa bière, allumer une cigarette, jouer avec son téléphone tandis que je reste là, couché en silence. De temps en temps, elle me caresse distraitement le sexe et les couilles avec ses pieds. Dussé-je passer toute la soirée comme cela, je ne m’en estimerais pas moins heureux. Soudain, le téléphone d’Adélaïde sonne. — Allô ? Ah, tu es en bas ? Oui ? Ah ! Vous êtes arrivées toutes les deux ? OK. Je vous ouvre. À tout de suite. Mais que se passe-t-il ? Elle fait venir des copines alors que nous sommes en séance ? Adélaïde se lève pour aller ouvrir à l’interphone. — Voilà ta surprise, esclave, me dit-elle. Va au milieu de la pièce et mets-toi à genoux, face à la porte, les mains derrière le dos.— Oui, ...