1. Les copines d'Adélaïde


    Datte: 05/12/2018, Catégories: fh, fffh, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, hgode, fouetfesse, sm,

    ... maîtresse. Elle ouvre la porte, puis j’entends une cascade de rires féminins dans l’escalier. — Salut, Ad ! Comment vas-tu ? Elles entrent toutes les deux. L’une d’entre elles est Céline, une jolie blonde en maîtrise d’Histoire que je connais parce qu’elle donne des cours de méthodologie aux première année. J’ignorais qu’elle fût amie avec Adélaïde. Oh, la honte, et moi tout nu devant elle, à genoux au milieu de la pièce. La deuxième est une fille aux cheveux châtains, que j’ai déjà croisée dans les couloirs de la section philosophie en allant chercher Adélaïde en cours. Coralie, si mes souvenirs sont bons. Elles embrassent toutes les deux Adélaïde sur le pas de la porte. — Entrez, entrez, leur dit cette dernière. Puis elles entrent. — Oh ! Mais voilà Paul, dit Céline. Comment vas-tu ?— Qu’est-ce qu’on dit ? intervient Adélaïde d’un ton sévère.— Bien, Maîtresse. Malgré la honte, mon érection est plus dure que jamais. Adélaïde me commande de me mettre debout. — Regardez comme il est beau, mon petit esclave, fait-elle tout en tournant autour de moi.— Dis donc, il est bien membré, ton esclave, commente Coralie.— Et respectueux avec ses maîtresses, avec ça, ajoute Céline. Au garde-à-vous devant nous.— Vous n’avez encore rien vu. Retourne-toi et montre-leur ton cul, esclave. Je me retourne, les joues en feu. Adélaïde me caresse les fesses. — Vous avez vu les belles fesses qu’il a ? interroge-t-elle. C’est presque dommage qu’il soit si docile et obéissant, car j’ai tout le temps ...
    ... envie de lui donner la fessée.— Et tu te gênes parce qu’il est obéissant ? demande Coralie.— Bien sûr que non ! Et toutes trois se mettent à rire. Et d’ajouter : — D’ailleurs, ce soir, les petites fesses de mon esclave vont être soumises à rude épreuve. Nouvel éclat de rire général, puis Céline commente : — Un de ces jours, il faut que j’organise une soirée chez moi pour vous présenter ma petite Julie. Elle est d’une docilité et d’une dévotion à mon égard absolument délicieuses. Vous verriez ses petites fesses et sa petite fente quand je la fais marcher à quatre pattes, c’est un spectacle à ravir !— Ben, tiens, bonne idée, répond Adélaïde du tac au tac. Paul, mets-toi à quatre pattes et fais-leur une petite démonstration. Marche devant nous dans toute la pièce. Je m’exécute et fais quelques tours à quatre pattes dans le séjour. Chacune y va de son petit compliment sur mes fesses, sur ma démarche, sur mes belles couilles qui se dandinent à chacun de mes pas. Je sens le regard de mes maîtresses sur moi et à ce moment-là, je comprends ce que voulait dire Adélaïde quand elle me rappelait qu’un esclave était toujours fier de montrer ses couilles à sa maîtresse. À cet instant, je me sens parfaitement bien avec ma nudité devant ces trois jeunes filles avides de m’humilier. Puis au bout de quelques instants, Adélaïde me demande de me mettre debout pour l’inspection. Je me lève, puis elle me dirige vers la grande table, me demande de me pencher et d’appuyer mes mains dessus. Elle prie ...
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