Les copines d'Adélaïde - Histoires de Sexe

Les copines d'Adélaïde

... ensuite Céline de procéder à l’inspection pendant que toutes regardent. Celle-ci écarte mes fesses, dévoilant mon anus. — Oh ! Mais voici un joli petit trou qui ne demande qu’à être comblé ! commente-t-elle. Dis-moi, est-ce que ta maîtresse t’a déjà sodomisé ?— Oui, Maîtresse.— Soit dit en passant, Ad, dit-elle en s’adressant à Adélaïde, ma question était de pure forme. Je sais que je peux te faire confiance pour sodomiser un esclave dès le premier soir. Elles rient. Céline écarte encore plus mes fesses. Je me penche davantage. — Et tu aimes ça ?— Oui, Maîtresse, j’adore ça.— Dis-moi pourquoi tu aimes. J’aimerais te l’entendre dire.— Je ne sais pas, Maîtresse. C’est comme… (je cherche mes mots, gêné de dévoiler mon intimité psychique alors que chaque centimètre de mon corps est exposé à leurs yeux). Comme si je lui appartenais encore davantage… je me sens possédé, pris, quand elle me pénètre avec son jouet, comme sans défense devant elle, totalement humilié. Je suis à sa merci et j’aime ça.— Excellente réponse ! Je vois que ta maîtresse a fait du bon travail avec toi. Et t’es-tu déjà fait sodomiser par un garçon ? Avec son sexe ?— Non, Maîtresse, je n’ai jamais eu de rapports homosexuels.— Ah ! Voilà qui manque à son éducation. Il va falloir remédier à cela, Ad.— Chaque chose en son temps, rétorque cette dernière sèchement. C’est déjà bien qu’il ait accepté le programme de la séance d’aujourd’hui. Rappelle-toi nos principes : soumission oui, contrainte non. Et… et… et en ...

... plus, je suis amoureuse de lui. Voilà !— Adélaïde amoureuse de son esclave, rit Coralie. On aura tout vu !— Eh ben, oui ! C’est comme ça ! Allez, assez ri ! On va boire un coup ! Toi, à quatre pattes et en vitesse ! m’ordonne-t-elle. Je m’empresse de lui obéir, puis Adélaïde propose à ses deux invitées d’enlever leurs chaussures avant de s’installer sur le canapé. — Coralie, assieds-toi sur le fauteuil, là, dit-elle en indiquant du doigt le siège qui fait face au canapé. C’est l’esclave qui va s’en charger. Et à moi : Tu te mets à genoux devant elle et tu lui demandes respectueusement si tu peux lui enlever ses chaussures et lui baiser les pieds. Après, c’est le tour de maîtresse Céline, qui t’a honoré de son inspection. Dépêche-toi ! Je cours à quatre pattes vers le fauteuil où s’est assise Coralie et je me place à genoux devant elle. — Puis-je vous enlever vos chaussures et couvrir vos pieds de respectueux baisers, Maîtresse ?— Oui. Je délace ses chaussures, les enlève, puis lui enlève ses chaussettes. Ensuite, je prends son pied droit dans mes mains et le couvre de baisers, sur la plante des pieds, sur les orteils, sur le dessus, puis sur les chevilles. — C’est très bien. Récompense ! me dit-elle. Aussitôt, je me retourne pour me mettre en position de soumission. Elle m’octroie une longue caresse sur les couilles tandis que je frissonne de plaisir. Puis c’est au tour de Céline. Elles s’assoient toutes les trois sur le canapé tandis que je leur sers à boire de la façon dont je ...